
Lesquels, visiblement, souligne Me El Hadji Amadou Sall, ont décidé d’être en marge de la loi. Il se veut pour preuve que jusqu’ici, aucun responsable libéral détenue en prison, n’a fait l’objet d’audition sur le fond. Dès lors, une réponse politique s’impose. Une idée largement partagée au sein des responsables dudit parti. D’ailleurs à ce sujet, l’Union des jeunesses travaillistes libérales va organiser des marches de protestation le 31 juillet prochain de 10 heures à 15 heures dans trois départements.