Lors de la première édition des micros d’Or, un journaliste a été sacré meilleur présentateur du journal télévisé. Lui, c’est Pascal Alihonou. Journaliste à Walf TV, ce jeune journaliste qui a capitalisé une dizaine d’années dans la profession a malgré son sacre la tête sur les épaules.
Trouvé au siège du groupe Walfajdri par Leral.net, il ne fait pas obstacle à sa joie, son enthousiasme de se retrouver dans le cercle des plus belles voix du Sénégal. Pascal qui est âgé d’une trentaine d’année - il ne veut pas révéler son âge exact - veut être une valeur sure du journalisme au Sénégal. Bien qu’étant issu d’une famille béninoise. Mais ne vous y méprenez pas, ce Pascal-là, est sénégalais. Puisqu’il a fait son cursus scolaire au Sénégal. A eu une enfance à la sénégalaise et s’exprime en langue nationale.
Son idylle avec le journalisme prend ses marques en 2002 à la radio Manoré FM. Pascal, étudiant en journalisme dans une école de la place allie études et travail. Des années passées dans cette radio permirent à cette voix d’or de croiser le fer avec les rudiments du métier qu’il a toujours aimé faire. Il quitte Manoré pour faire les beaux jours de Seninfo où il ne fait qu’une seule année. En 2007, alors que le Sénégal était en pleine campagne électorale, le jeune Pascal qui rêvait grand dépose ses baluchons à Walfadjri.
Une nouvelle vie commence pour cet homme qui est certes le chouchou de la gent féminine, mais qui tient à être un mari fidèle. Il ne tarit pas d’éloges pour sa femme qu’il décrit comme une personne de l’ombre. Une confiance inébranlable règne entre ces deux-là. A sa maman, il voue un amour infaillible. « Ma mère est ma première inspiratrice », révèle-t-il non sans regretter le départ de son défunt père pour un autre monde. Celui de la vérité. C’est de la même manière que celui qui s’arrache des bras de Morphée, pardon de Mme Alihonou à 4 heures du matin regrette le report de cérémonie de la remise des micros d’or aux lauréats. S’il ne dépendait que de lui, la date du 30 avril serait maintenue car cela lui aurait permis de rendre hommage à son père qui est décédé un an plus tôt.
De son avenir, Pascal ne s’empiffre point. « Je suis bien à Walf », fait-il gober. Ce chapitre clos, il invite ses confrères à plus de solidarité et aux patrons de presse, Alihonou demande une meilleure considération pour tout le travail qu’abattent les jeunes journalistes. En bon journaliste, le monsieur « Jt » de Walf adresse un message de paix aux différents acteurs de la vie politique pour que le successeur de Wade ne ramasse pas des cendres. Ce Pascal est un homme de paix…
Ecoutez l'entretien accordé à LERAL.NET
Par Abdou K. Cissé
Trouvé au siège du groupe Walfajdri par Leral.net, il ne fait pas obstacle à sa joie, son enthousiasme de se retrouver dans le cercle des plus belles voix du Sénégal. Pascal qui est âgé d’une trentaine d’année - il ne veut pas révéler son âge exact - veut être une valeur sure du journalisme au Sénégal. Bien qu’étant issu d’une famille béninoise. Mais ne vous y méprenez pas, ce Pascal-là, est sénégalais. Puisqu’il a fait son cursus scolaire au Sénégal. A eu une enfance à la sénégalaise et s’exprime en langue nationale.
Son idylle avec le journalisme prend ses marques en 2002 à la radio Manoré FM. Pascal, étudiant en journalisme dans une école de la place allie études et travail. Des années passées dans cette radio permirent à cette voix d’or de croiser le fer avec les rudiments du métier qu’il a toujours aimé faire. Il quitte Manoré pour faire les beaux jours de Seninfo où il ne fait qu’une seule année. En 2007, alors que le Sénégal était en pleine campagne électorale, le jeune Pascal qui rêvait grand dépose ses baluchons à Walfadjri.
Une nouvelle vie commence pour cet homme qui est certes le chouchou de la gent féminine, mais qui tient à être un mari fidèle. Il ne tarit pas d’éloges pour sa femme qu’il décrit comme une personne de l’ombre. Une confiance inébranlable règne entre ces deux-là. A sa maman, il voue un amour infaillible. « Ma mère est ma première inspiratrice », révèle-t-il non sans regretter le départ de son défunt père pour un autre monde. Celui de la vérité. C’est de la même manière que celui qui s’arrache des bras de Morphée, pardon de Mme Alihonou à 4 heures du matin regrette le report de cérémonie de la remise des micros d’or aux lauréats. S’il ne dépendait que de lui, la date du 30 avril serait maintenue car cela lui aurait permis de rendre hommage à son père qui est décédé un an plus tôt.
De son avenir, Pascal ne s’empiffre point. « Je suis bien à Walf », fait-il gober. Ce chapitre clos, il invite ses confrères à plus de solidarité et aux patrons de presse, Alihonou demande une meilleure considération pour tout le travail qu’abattent les jeunes journalistes. En bon journaliste, le monsieur « Jt » de Walf adresse un message de paix aux différents acteurs de la vie politique pour que le successeur de Wade ne ramasse pas des cendres. Ce Pascal est un homme de paix…
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Par Abdou K. Cissé