Macky Sall a exigé, vendredi, à Dakar, l’application du principe pollueur-payeur pour tenter de limiter les émissions polluantes, qui entraînent la dégradation de l’environnement.
‘’Si nous voulons que cette planète soit sauvée, il faut que le principe de la responsabilité commune mais différenciée soit appliquée, que le principe du pollueur-payeur soit de rigueur’’, a dit M. Sall en intervenant à l’ouverture d’un colloque international sur le Pacte mondial pour l’environnement.
Si ce principe qui a été l’objet d’une loi dans certains pays n’est pas appliqué, les entreprises à l’origine des émissions polluantes ‘’vont retourner à l’énergie fossile, ce qui ne fera qu’accélérer la dégradation de notre habitat commun’’, a-t-il averti, en présence de plusieurs personnalités dont Laurent Fabius, le président du Conseil constitutionnel français et dirigeant de la COP 21, la conférence de Paris sur les changements climatiques en 2015.
Macky Sall a rappelé le constat fait par de nombreux experts de l’environnement, selon lesquels ‘’les pays africains en particulier, qui sont les moins pollueurs, sont ceux qui subissent paradoxalement, le plus les effets de la dégradation de l’environnement’’.
‘’Toutes les nations’’ doivent comprendre que la lutte contre la dégradation de l’environnement est ‘’une exigence de justice et d’équité’’, a-t-il ajouté.
‘’La contribution de l’Afrique au réchauffement climatique causé par les émissions de CO2 (gaz carbonique) liées à l’énergie demeure la plus faible du monde. Elle devrait atteindre seulement environ 3% d’ici à 2040’’, a affirmé M. Sall, invitant les Etats à ‘’renoncer au schéma pollueur que les pays les plus industrialisés ont suivi pendant des siècles’’.
APS
‘’Si nous voulons que cette planète soit sauvée, il faut que le principe de la responsabilité commune mais différenciée soit appliquée, que le principe du pollueur-payeur soit de rigueur’’, a dit M. Sall en intervenant à l’ouverture d’un colloque international sur le Pacte mondial pour l’environnement.
Si ce principe qui a été l’objet d’une loi dans certains pays n’est pas appliqué, les entreprises à l’origine des émissions polluantes ‘’vont retourner à l’énergie fossile, ce qui ne fera qu’accélérer la dégradation de notre habitat commun’’, a-t-il averti, en présence de plusieurs personnalités dont Laurent Fabius, le président du Conseil constitutionnel français et dirigeant de la COP 21, la conférence de Paris sur les changements climatiques en 2015.
Macky Sall a rappelé le constat fait par de nombreux experts de l’environnement, selon lesquels ‘’les pays africains en particulier, qui sont les moins pollueurs, sont ceux qui subissent paradoxalement, le plus les effets de la dégradation de l’environnement’’.
‘’Toutes les nations’’ doivent comprendre que la lutte contre la dégradation de l’environnement est ‘’une exigence de justice et d’équité’’, a-t-il ajouté.
‘’La contribution de l’Afrique au réchauffement climatique causé par les émissions de CO2 (gaz carbonique) liées à l’énergie demeure la plus faible du monde. Elle devrait atteindre seulement environ 3% d’ici à 2040’’, a affirmé M. Sall, invitant les Etats à ‘’renoncer au schéma pollueur que les pays les plus industrialisés ont suivi pendant des siècles’’.
APS