La rencontre entre la charmante journaliste de la Rts et son époux date de 2006, par l’intermédiaire d’un des amis de ce dernier. Une fois établie la relation, la jeune dame qui est assez discrète gagne l’estime et l’intérêt de son nouvel ami. Les sentiments partagés, ils entretiennent leur idylle par Téléphone, l’homme vivant au Canada. Epris de la jeune fille, il répond à tous ses besoins. Rassuré, le sénégalais vivant au Canada décide en en février 2008, de demander la main de sa dulcinée. Le mariage scellé, il trouve à sa femme un appartement, lui envoie mensuellement entre 100 milles et 150 milles Fcfa. Mieux, il lui remet, a-t-il révélé, sa carte bancaire crédité depuis Montréal, en lui demandant de l’appeler avant tout retrait. « Ce que madame n’a jamais fait ».
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Et, poursuit le plaignant, son épouse, depuis le mois de juillet de l’année de leur mariage créait des situations qui la rendait injoignable. Pour parer à cela, il lui achète un ordinateur portable. Les problèmes s’amplifiaient, il cherche à la faire venir au Canada. Là encore, « elle a fait preuve de mauvaise volonté et n’a pas réuni les pièces nécessaires dont le certificat de mariage », dit-il.
Débarquant à Dakar, en début 2011, il argue que d’abord, il a eu toutes les peines du monde pour mettre la main sur sa femme. Puis, il a été accueilli par une procédure de divorce. Ainsi, son espoir de consommer son mariage et de vivre avec sa femme était tombé à l’eau. « La maman de mon épouse m’a dit que je peux aller au septième ciel, le mariage étant enterré depuis deux ans. « Je ne voulais plus revivre le traumatisme de mon enfance ».
A la barre, la prévenue, calme et d’apparence polie, a nié les faits. D’après elle, son mari, avec qui elle a aussi des liens de parenté, avait complétement changé après leur mariage. D’abord, il n’avait pas respecté l’engagement pris de venir en décembre 2008. Ensuite, au téléphone, il devenait de plus en plus agressif, autoritaire et nerveux. Traumatisé déjà par son père étant jeune, elle n’avait pas l’intention de répéter l’expérience. C’est ainsi qu’en fin 2010, ne ressentant plus ni amour ni affection, elle soutient avoir arrêté de prendre son argent. Après lui avoir donné à trois reprises sa chance, elle a fait le pas cassant.
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Et, poursuit le plaignant, son épouse, depuis le mois de juillet de l’année de leur mariage créait des situations qui la rendait injoignable. Pour parer à cela, il lui achète un ordinateur portable. Les problèmes s’amplifiaient, il cherche à la faire venir au Canada. Là encore, « elle a fait preuve de mauvaise volonté et n’a pas réuni les pièces nécessaires dont le certificat de mariage », dit-il.
Débarquant à Dakar, en début 2011, il argue que d’abord, il a eu toutes les peines du monde pour mettre la main sur sa femme. Puis, il a été accueilli par une procédure de divorce. Ainsi, son espoir de consommer son mariage et de vivre avec sa femme était tombé à l’eau. « La maman de mon épouse m’a dit que je peux aller au septième ciel, le mariage étant enterré depuis deux ans. « Je ne voulais plus revivre le traumatisme de mon enfance ».
A la barre, la prévenue, calme et d’apparence polie, a nié les faits. D’après elle, son mari, avec qui elle a aussi des liens de parenté, avait complétement changé après leur mariage. D’abord, il n’avait pas respecté l’engagement pris de venir en décembre 2008. Ensuite, au téléphone, il devenait de plus en plus agressif, autoritaire et nerveux. Traumatisé déjà par son père étant jeune, elle n’avait pas l’intention de répéter l’expérience. C’est ainsi qu’en fin 2010, ne ressentant plus ni amour ni affection, elle soutient avoir arrêté de prendre son argent. Après lui avoir donné à trois reprises sa chance, elle a fait le pas cassant.