Selon les sources du quotidien « L’As », le sieur Tirera qui voulait acheter une maison, a vu une annonce via internet. La maison en vente est à la Sicap Amitié 2. Alors, il prend langue avec M. Bâ, qui se présente comme le propriétaire de la maison. Ils ont visité ensemble la maison immatriculée lot 4247 du Titre foncier 6073/Gr. M. Bâ propose 150 millions de francs Cfa à son client. Après discussion, les deux parties tombent d’accord sur la somme de 150 millions FCfa.
Dans ses œuvres machiavéliques, M. Bâ convainc son client de lui verser les 150 millions FCfa, en contrepartie d’un acte de cession. Ce que Tirera accepte. Il remet l’argent au sieur Bâ, pour un acte de cession devant un notaire. Mais Tirera a eu la surprise de sa vie lorsqu’il a entamé la mutation de la maison en son nom. Il apprend que son vendeur n’est pas le propriétaire de la maison, qui appartient à la dame A. Samb.
Se sentant alors berné, Tirera se rend à la Dic pour porter plainte contre l’agent immobilier indélicat, M. Bâ. Ce dernier a reconnu les faits qui lui sont reprochés devant les enquêteurs. Il dit avoir dépensé l’argent pour la relance de ses activités. Il sollicite un moratoire pour rembourser l’argent. Mais il n’aura pas cette faveur. L’agent immobilier a été placé en garde-à-vue pour les besoins de l’enquête.
D’après toujours « L’As », M. Bâ avait aussi grugé la dame A. Samb, mais cette dernière, qui était à la Dic, n’a pas jugé nécessaire de porter plainte contre le mis en cause. Elle aurait remis à ce dernier 170 millions FCfa pour l’achat d’une maison à la Sicap Amitié 2, pour deux parcelles contiguës.
A. Samb précise devant les enquêteurs que face au refus de M. Bâ de lui céder la maison, elle a saisi ses avocats qui lui ont conseillé de requérir une pré-notation, c’est-à-dire « une mention portée à titre provisoire et conditionnel sur un titre foncier », en attendant que la Justice vide le contentieux d’hérédité entre M. Bâ et sa famille.
Au terme de sa garde-à-vue, le mis en cause a été déféré au parquet pour escroquerie au foncier, portant sur la somme de 150 millions FCfa au préjudice du commerçant Y. Tirera.
L’As
Dans ses œuvres machiavéliques, M. Bâ convainc son client de lui verser les 150 millions FCfa, en contrepartie d’un acte de cession. Ce que Tirera accepte. Il remet l’argent au sieur Bâ, pour un acte de cession devant un notaire. Mais Tirera a eu la surprise de sa vie lorsqu’il a entamé la mutation de la maison en son nom. Il apprend que son vendeur n’est pas le propriétaire de la maison, qui appartient à la dame A. Samb.
Se sentant alors berné, Tirera se rend à la Dic pour porter plainte contre l’agent immobilier indélicat, M. Bâ. Ce dernier a reconnu les faits qui lui sont reprochés devant les enquêteurs. Il dit avoir dépensé l’argent pour la relance de ses activités. Il sollicite un moratoire pour rembourser l’argent. Mais il n’aura pas cette faveur. L’agent immobilier a été placé en garde-à-vue pour les besoins de l’enquête.
D’après toujours « L’As », M. Bâ avait aussi grugé la dame A. Samb, mais cette dernière, qui était à la Dic, n’a pas jugé nécessaire de porter plainte contre le mis en cause. Elle aurait remis à ce dernier 170 millions FCfa pour l’achat d’une maison à la Sicap Amitié 2, pour deux parcelles contiguës.
A. Samb précise devant les enquêteurs que face au refus de M. Bâ de lui céder la maison, elle a saisi ses avocats qui lui ont conseillé de requérir une pré-notation, c’est-à-dire « une mention portée à titre provisoire et conditionnel sur un titre foncier », en attendant que la Justice vide le contentieux d’hérédité entre M. Bâ et sa famille.
Au terme de sa garde-à-vue, le mis en cause a été déféré au parquet pour escroquerie au foncier, portant sur la somme de 150 millions FCfa au préjudice du commerçant Y. Tirera.
L’As