Jeudi 29 juin, sur son réseau Truth Social, Donald Trump poste une adresse. Il prétend qu’il s’agit de celle de son prédécesseur à la Maison Blanche, Barack Obama. Le jour même, dans la banlieue de Washington et près de la propriété très surveillée de l’ancien président américain, le Secret service arrête un homme armé.
Dans son van, deux armes à feu sont retrouvées, ainsi que des centaines de munitions. Pour le procureur fédéral, c’est bien le message posté par Donald Trump qui aurait guidé l’homme près de la résidence de Barack Obama.
L’individu avait d’ailleurs reposté cette adresse avec ce message : «Nous avons cerné ces losers d’Obama et (John) Podesta», le nom de l’ancien directeur de campagne d’Hillary Clinton.
Le profil politique de cet homme de 37 ans ne fait aucun doute : Taylor Taranto fait partie des inculpés pour l’assaut du Capitole, le 6 janvier 2021. Au moment de son interpellation, il diffusait en direct sur sa chaine YouTube et disait chercher un bon angle de tir.
Cet ancien soldat, vétéran de la guerre d’Irak, est actuellement en détention. L’affaire pose évidemment une nouvelle fois la question de la responsabilité de Donald Trump sur les réseaux sociaux, et en particulier sur le sien, où la modération est inexistante.
Bes Bi avec Rfi.fr
Dans son van, deux armes à feu sont retrouvées, ainsi que des centaines de munitions. Pour le procureur fédéral, c’est bien le message posté par Donald Trump qui aurait guidé l’homme près de la résidence de Barack Obama.
L’individu avait d’ailleurs reposté cette adresse avec ce message : «Nous avons cerné ces losers d’Obama et (John) Podesta», le nom de l’ancien directeur de campagne d’Hillary Clinton.
Le profil politique de cet homme de 37 ans ne fait aucun doute : Taylor Taranto fait partie des inculpés pour l’assaut du Capitole, le 6 janvier 2021. Au moment de son interpellation, il diffusait en direct sur sa chaine YouTube et disait chercher un bon angle de tir.
Cet ancien soldat, vétéran de la guerre d’Irak, est actuellement en détention. L’affaire pose évidemment une nouvelle fois la question de la responsabilité de Donald Trump sur les réseaux sociaux, et en particulier sur le sien, où la modération est inexistante.
Bes Bi avec Rfi.fr