1 Le "Borussia Pologne"
Poussée par un public totalement acquis à sa cause, la Pologne, enthousiaste comme jamais, a pris la Grèce à la gorge d'entrée de jeu. Si plusieurs individualités se sont illustrés ce soir (Obraniak, Murawski, Polanski...), force est de constater que le trio du Borussia Dortmund, Piszczek-Blaszczykowski (alias "Kuba")-Lewandoswki, apporte une certaine plus-value du côté polonais. Les automatismes entre les trois hommes forts du double champion d'Allemagne sont bien ancrés. Hélas, les ouailles de Smuda ont craqué physiquement. En seconde mi-temps, ils n'ont quasiment plus rien offert face au réveil grec.
2 Le déclic Salpigidis
Attendu comme titulaire, Salpigidis a finalement pris place sur le banc des remplaçants au grand bonheur de Ninis. Dos au mur, Fernando Santos (le coach de la Grèce) n'a pas hésité à brûler sa dernière carte en faisant monter au jeu son buteur. En 45 minutes de temps, l'attaquant du PAOK a littérallement mis le feu dans la défense polonaise par sa vitesse, son efficacité et ses appels de balle incessants en profondeur. Après avoir inscrit le but égalisateur en "renard des surfaces" (51e), il a également provoqué l'exclusion de Szczesny (penalty loupé par Karagounis). Sans parler de son but annulé (discutable) quelques minutes plus tard. Bref, Salpigidis, c'est l'homme du match de cette rencontre.
3 Un autre rôle pour Wasyl
Cet Euro, c'est également celui de Marcin Wasilewski. Le défenseur du Sporting Anderlecht évolue toutefois dans un autre rôle sous le maillot la Pologne. Comme la place d'arrière droit est parfaitement occupée par Lukasz Piszczek, "Wasyl" joue en défense centrale. Que retenir de sa prestation individuelle? Costaud dans les duels et propre à la relance, le joueur du RSCA a cependant été piégé par Gekas sur le but de Salpigidis (51e). Sa "nouvelle" position pourrait toutefois donner des idées aux Mauves dans un futur proche.
SOURCE:7sur7.be
Poussée par un public totalement acquis à sa cause, la Pologne, enthousiaste comme jamais, a pris la Grèce à la gorge d'entrée de jeu. Si plusieurs individualités se sont illustrés ce soir (Obraniak, Murawski, Polanski...), force est de constater que le trio du Borussia Dortmund, Piszczek-Blaszczykowski (alias "Kuba")-Lewandoswki, apporte une certaine plus-value du côté polonais. Les automatismes entre les trois hommes forts du double champion d'Allemagne sont bien ancrés. Hélas, les ouailles de Smuda ont craqué physiquement. En seconde mi-temps, ils n'ont quasiment plus rien offert face au réveil grec.
2 Le déclic Salpigidis
Attendu comme titulaire, Salpigidis a finalement pris place sur le banc des remplaçants au grand bonheur de Ninis. Dos au mur, Fernando Santos (le coach de la Grèce) n'a pas hésité à brûler sa dernière carte en faisant monter au jeu son buteur. En 45 minutes de temps, l'attaquant du PAOK a littérallement mis le feu dans la défense polonaise par sa vitesse, son efficacité et ses appels de balle incessants en profondeur. Après avoir inscrit le but égalisateur en "renard des surfaces" (51e), il a également provoqué l'exclusion de Szczesny (penalty loupé par Karagounis). Sans parler de son but annulé (discutable) quelques minutes plus tard. Bref, Salpigidis, c'est l'homme du match de cette rencontre.
3 Un autre rôle pour Wasyl
Cet Euro, c'est également celui de Marcin Wasilewski. Le défenseur du Sporting Anderlecht évolue toutefois dans un autre rôle sous le maillot la Pologne. Comme la place d'arrière droit est parfaitement occupée par Lukasz Piszczek, "Wasyl" joue en défense centrale. Que retenir de sa prestation individuelle? Costaud dans les duels et propre à la relance, le joueur du RSCA a cependant été piégé par Gekas sur le but de Salpigidis (51e). Sa "nouvelle" position pourrait toutefois donner des idées aux Mauves dans un futur proche.
SOURCE:7sur7.be