Les autorités proposent une délocalisation à Dakar avec une compensation de 25 millions de francs CFA, une offre favorable aux yeux des résidents qui expriment leur volonté de coopérer. Cependant, ces derniers sollicitent une délocalisation à Ouakam, dans une zone plus sécurisée et préservée des nuisances sonores.
Dans le quartier de la Cité Avion à Ouakam, les habitants de la Piste vivent dans l'ombre des avions décollant et atterrissant à l'aéroport Léopold Sédar Senghor. Récemment, la Direction de la Surveillance et du Contrôle de l'Occupation du Sol (DSCOS) a notifié 63 familles, de la nécessité de quitter les lieux pour des raisons de sécurité. Les résidents font désormais face à un dilemme, entre rester dans un environnement potentiellement dangereux ou accepter une délocalisation proposée par les autorités.
Les autorités, conscientes des risques encourus par ces habitants, ont offert un terrain à Dakar, accompagné d'une compensation financière de 25 millions de francs Cfa pour chaque famille. Une proposition jugée favorable par le président de l'Association pour le Développement de la Cité Avion et Touba Ouakam, Sada Thiam. Ce dernier a exprimé la disposition des résidents à quitter les lieux, soulignant le besoin de sécurité pour eux et leurs familles.
Pourtant, derrière cette apparente acceptation, se cache une demande importante. Les habitants sollicitent une délocalisation à Ouakam, mais dans une zone plus sécurisée, éloignée des bruits assourdissants des avions. Sada Thiam, en tant que porte-parole des résidents, a adressé une requête à l'État, pour une délocalisation interne, qui garantisse non seulement la sécurité mais aussi la qualité de vie des habitants.
L'avenir de la Cité Avion à Ouakam, semble suspendu entre les enjeux de sécurité aéroportuaire et les aspirations légitimes des résidents à vivre dans un environnement paisible et préservé.. Ils se disent prêts à quitter les lieux. Même s’ils demandent à l’Etat, une délocalisation à Ouakam, dans une zone beaucoup plus sécurisée, loin des bruits sonores.
Dans le quartier de la Cité Avion à Ouakam, les habitants de la Piste vivent dans l'ombre des avions décollant et atterrissant à l'aéroport Léopold Sédar Senghor. Récemment, la Direction de la Surveillance et du Contrôle de l'Occupation du Sol (DSCOS) a notifié 63 familles, de la nécessité de quitter les lieux pour des raisons de sécurité. Les résidents font désormais face à un dilemme, entre rester dans un environnement potentiellement dangereux ou accepter une délocalisation proposée par les autorités.
Les autorités, conscientes des risques encourus par ces habitants, ont offert un terrain à Dakar, accompagné d'une compensation financière de 25 millions de francs Cfa pour chaque famille. Une proposition jugée favorable par le président de l'Association pour le Développement de la Cité Avion et Touba Ouakam, Sada Thiam. Ce dernier a exprimé la disposition des résidents à quitter les lieux, soulignant le besoin de sécurité pour eux et leurs familles.
Pourtant, derrière cette apparente acceptation, se cache une demande importante. Les habitants sollicitent une délocalisation à Ouakam, mais dans une zone plus sécurisée, éloignée des bruits assourdissants des avions. Sada Thiam, en tant que porte-parole des résidents, a adressé une requête à l'État, pour une délocalisation interne, qui garantisse non seulement la sécurité mais aussi la qualité de vie des habitants.
L'avenir de la Cité Avion à Ouakam, semble suspendu entre les enjeux de sécurité aéroportuaire et les aspirations légitimes des résidents à vivre dans un environnement paisible et préservé.. Ils se disent prêts à quitter les lieux. Même s’ils demandent à l’Etat, une délocalisation à Ouakam, dans une zone beaucoup plus sécurisée, loin des bruits sonores.