Les 63 femmes et jeunes filles ont profité des combats qui ont opposé les miliciens de Boko Haram à l'armée nigériane vendredi, aux abords de la ville de Damboa. Ce jour-là, d'après l'armée nigériane, une cinquantaine de combattants de Boko Haram ont attaqué la caserne de Domboa, ville à quelques dizaines de kilomètres au nord de la ville de Chibok, dans l'Etat de Borno.
L'absence de leurs geôliers a manifestement permis aux captives de fuir et de regagner leurs foyers, selon des témoignages recueillis par l'Agence France-Presse auprès des milices d'autodéfense. Ces femmes avaient été kidnappées à la mi-juin dans le village de Kummabza, après une série d'attaques de Boko Haram.
Les autorités nigérianes n'ont pas encore confirmé leur libération, et l'armée déployée dans la région ne semble pas avoir joué le moindre rôle. Restent les deux cents lycéennes kidnappées à la mi-avril dans la ville de Chibok et dont le sort avait ému la planète entière. Leur traitement et leur localisation précise demeurent toujours inconnus.
Source : Rfi.fr
L'absence de leurs geôliers a manifestement permis aux captives de fuir et de regagner leurs foyers, selon des témoignages recueillis par l'Agence France-Presse auprès des milices d'autodéfense. Ces femmes avaient été kidnappées à la mi-juin dans le village de Kummabza, après une série d'attaques de Boko Haram.
Les autorités nigérianes n'ont pas encore confirmé leur libération, et l'armée déployée dans la région ne semble pas avoir joué le moindre rôle. Restent les deux cents lycéennes kidnappées à la mi-avril dans la ville de Chibok et dont le sort avait ému la planète entière. Leur traitement et leur localisation précise demeurent toujours inconnus.
Source : Rfi.fr