La semaine dernière, le secrétaire général de l’Alliance des forces de progrès a appelé le patron du Parti socialiste au téléphone, a appris LERAL.NET. « A mon âge (71 ans) ce sera certainement la dernière présidentielle à laquelle je participe contrairement à toi qui es encore jeune et qui peux briguer le suffrage des Sénégalais en 2019», a dit Moustapha Niasse à Tanor Dieng. En d’autres termes donc, l’ancien premier ministre demande à Tanor de se retirer de la course à la candidature afin qu’il puisse jouer sa dernière carte sur la scène politique nationale en 2012.
Mais Tanor n’a pas accepté la proposition de son « grand frère ». Les raisons : Parce que Niasse a grandement contribué à la chute du régime socialiste en 2000 et puis le Parti socialiste, depuis sa création, il y a plus de 50 ans, n’a jamais manqué une élection. Mais surtout, à la dernière présidentielle de 2007, Niasse était placé quatrième (5%) très loin derrière Tanor, troisième (13%). Difficile donc de trouver un consensus entre les deux hommes.
A Benno Siggil Senegaal, on est loin de voir le bout du tunnel. Le candidat de l’unité et du rassemblement, ce n’est pas pour demain et le retard accusé pour le désigner commence sérieusement à faire grincer des dents. Et à moins de 90 jours de l’élection, c’est Macky Sall, Idrissa Séck et Abdoulaye Wade (ou un autre candidat de la mouvance présidentielle si Wade est disqualifié) qui vont certainement en bénéfier.
Mais Tanor n’a pas accepté la proposition de son « grand frère ». Les raisons : Parce que Niasse a grandement contribué à la chute du régime socialiste en 2000 et puis le Parti socialiste, depuis sa création, il y a plus de 50 ans, n’a jamais manqué une élection. Mais surtout, à la dernière présidentielle de 2007, Niasse était placé quatrième (5%) très loin derrière Tanor, troisième (13%). Difficile donc de trouver un consensus entre les deux hommes.
A Benno Siggil Senegaal, on est loin de voir le bout du tunnel. Le candidat de l’unité et du rassemblement, ce n’est pas pour demain et le retard accusé pour le désigner commence sérieusement à faire grincer des dents. Et à moins de 90 jours de l’élection, c’est Macky Sall, Idrissa Séck et Abdoulaye Wade (ou un autre candidat de la mouvance présidentielle si Wade est disqualifié) qui vont certainement en bénéfier.