Comprenons bien le mécanisme ! Le Sénégal, pour financer ses besoins, émet des obligations souveraines, c'est-à-dire des titres de dette vendus à des investisseurs internationaux. Ces obligations engagent le pays à rembourser le capital emprunté, assorti d'intérêts souvent élevés. Et parmi les principaux créanciers du Sénégal, figurent des fonds d'investissement internationaux. Selon une analyse du Mail & Guardian (https://lnkd.in/edPJe5Pn), 40% des actions d'Endeavour Mining sont détenues par 17 de ces fonds, qui détiennent également une part significative de la dette souveraine sénégalaise.
Faisons les comptes : À 10% de partage, le Sénégal encaisse 59,8 millions de dollars, mais doit toujours 211,2 millions de dollars après paiement de cette dette ! Nous sommes déficitaires de 211,2 millions sur notre propre or ! Sommes-nous maudits ?
VOILÀ LE SCANDALE ! Nous laissons 539 millions de dollars s’évaporer chaque année dans des poches étrangères, alors que nous pourrions, dès lundi, imposer un nouveau contrat. Si ces entreprises ne sont pas d'accord, qu’elles partent ! Nous avons la capacité d'exploiter nous-mêmes nos ressources ou de chercher des partenaires plus justes.
Le moment est venu pour nous, jeunes Africains, de réclamer un véritable contrôle sur nos richesses. Nous ne pouvons plus accepter des accords qui nous maintiennent enchaînés à la dette et à la dépendance.
L'histoire nous jugera.
Faisons les comptes : À 10% de partage, le Sénégal encaisse 59,8 millions de dollars, mais doit toujours 211,2 millions de dollars après paiement de cette dette ! Nous sommes déficitaires de 211,2 millions sur notre propre or ! Sommes-nous maudits ?
VOILÀ LE SCANDALE ! Nous laissons 539 millions de dollars s’évaporer chaque année dans des poches étrangères, alors que nous pourrions, dès lundi, imposer un nouveau contrat. Si ces entreprises ne sont pas d'accord, qu’elles partent ! Nous avons la capacité d'exploiter nous-mêmes nos ressources ou de chercher des partenaires plus justes.
Le moment est venu pour nous, jeunes Africains, de réclamer un véritable contrôle sur nos richesses. Nous ne pouvons plus accepter des accords qui nous maintiennent enchaînés à la dette et à la dépendance.
L'histoire nous jugera.