Pour le Ps qui a sorti une déclaration, les résistances citoyennes démontrées par les populations de Guédiawaye, de Fatick et de Kédougou doivent être développées partout et fédérées « dans une synergie de toutes les forces patriotiques afin de mettre un terme au régime d’Abdoulaye Wade. » Car, pour le Ps,
« c’est ce combat qu’il faut poursuivre sans désemparer dans le cadre d’un front de large rassemblement. » D’autant plus, qu’à ses yeux, « la furie répressive du régime d’Abdoulaye Wade face aux frustrations légitimes des populations constitue la preuve d’une peur panique devant l’inéluctabilité de sa chute. » Ousmane Tanor Dieng et ses camarades invitent les populations « à prendre conscience que ce combat constitue la seule alternative, et cette prise de conscience faite, à s’y engager, avec détermination et sans concession, pour éviter que l’année 2009, annoncée, partout dans le monde, sous le signe de la récession, ne soit une année d’aggravation de l’érosion du pouvoir d’achat, d’amplification des urgences sociales et de généralisation des drames humains qui se nouent au quotidien dans les familles et les communautés, dans les villes comme dans les campagnes et les banlieues. »
Le Ps fustige « l’attitude irresponsable du gouvernement qui consiste à faire payer aux populations la note d’une crise qu’il a lui-même provoquée par des pratiques de mal gouvernance endémique et de gaspillage caractérisé des ressources publiques ». Et martèle que « des initiatives populaires, en écho aux appels incessants des patriotes, s’engagent dans une posture citoyenne de résistance aux desseins de régression sociale d’un régime finissant qui, dans un ultime instinct de survie, développe de nouveau ses pulsions meurtrières. »
Les camarades de Ousmane Tanor Dieng ont analysé l’annonce récente faite par le directeur du Commerce intérieur sur une baisse du prix des denrées de première nécessité fondée sur la chute des cours mondiaux des prix du pétrole. Pourtant, le Ps constate qu’au même moment, le gouvernement refuse de baisser le prix de l’électricité. Le Ps dénonce en outre le caractère tardif de la mesure de baisse des prix des denrées de première nécessité qui intervient « encore trop timidement après plusieurs mois de baisse continue des prix de l’huile, du riz et du blé sur les marchés internationaux. » Il relève des préoccupations purement électoralistes derrière cette décision, et « s’insurge contre toute exploitation politicienne d’une mesure qu’il faut analyser comme la réparation partielle et tardive d’une injustice trop longtemps infligée aux populations ».
Les socialistes relèvent les « crises en chaîne provoquées par l’impéritie du régime libéral, le gouvernement continue à se jouer des populations en leur faisant croire à de fausses solutions face à de vrais problèmes avec la complicité de certains partenaires qui oublient que la seule carte qui vaille la peine d’être jouée est celle de l’intérêt du Peuple et non celle de dirigeants arrivés en bout de course et devant faire face à l’histoire ». Selon eux : « La dernière illustration l’irresponsabilité du pouvoir libéral face au désarroi des populations se retrouve dans les mesures gadgets issues du dernier conseil interministériel sur l’énergie, des pseudos mesures annoncées dans le but manifeste de désarmer les velléités populaires de légitimes contestations. Au lieu de satisfaire les exigences de tous les consommateurs relatives à la continuité, à la qualité et au coût du service public de l’électricité, le gouvernement persiste dans ses mesures improductives, pour se soustraire à l’obligation d’appliquer la vérité des prix dans l’autre sens, consécutivement au repli sensible des cours mondiaux du baril du pétrole ».
« c’est ce combat qu’il faut poursuivre sans désemparer dans le cadre d’un front de large rassemblement. » D’autant plus, qu’à ses yeux, « la furie répressive du régime d’Abdoulaye Wade face aux frustrations légitimes des populations constitue la preuve d’une peur panique devant l’inéluctabilité de sa chute. » Ousmane Tanor Dieng et ses camarades invitent les populations « à prendre conscience que ce combat constitue la seule alternative, et cette prise de conscience faite, à s’y engager, avec détermination et sans concession, pour éviter que l’année 2009, annoncée, partout dans le monde, sous le signe de la récession, ne soit une année d’aggravation de l’érosion du pouvoir d’achat, d’amplification des urgences sociales et de généralisation des drames humains qui se nouent au quotidien dans les familles et les communautés, dans les villes comme dans les campagnes et les banlieues. »
Le Ps fustige « l’attitude irresponsable du gouvernement qui consiste à faire payer aux populations la note d’une crise qu’il a lui-même provoquée par des pratiques de mal gouvernance endémique et de gaspillage caractérisé des ressources publiques ». Et martèle que « des initiatives populaires, en écho aux appels incessants des patriotes, s’engagent dans une posture citoyenne de résistance aux desseins de régression sociale d’un régime finissant qui, dans un ultime instinct de survie, développe de nouveau ses pulsions meurtrières. »
Les camarades de Ousmane Tanor Dieng ont analysé l’annonce récente faite par le directeur du Commerce intérieur sur une baisse du prix des denrées de première nécessité fondée sur la chute des cours mondiaux des prix du pétrole. Pourtant, le Ps constate qu’au même moment, le gouvernement refuse de baisser le prix de l’électricité. Le Ps dénonce en outre le caractère tardif de la mesure de baisse des prix des denrées de première nécessité qui intervient « encore trop timidement après plusieurs mois de baisse continue des prix de l’huile, du riz et du blé sur les marchés internationaux. » Il relève des préoccupations purement électoralistes derrière cette décision, et « s’insurge contre toute exploitation politicienne d’une mesure qu’il faut analyser comme la réparation partielle et tardive d’une injustice trop longtemps infligée aux populations ».
Les socialistes relèvent les « crises en chaîne provoquées par l’impéritie du régime libéral, le gouvernement continue à se jouer des populations en leur faisant croire à de fausses solutions face à de vrais problèmes avec la complicité de certains partenaires qui oublient que la seule carte qui vaille la peine d’être jouée est celle de l’intérêt du Peuple et non celle de dirigeants arrivés en bout de course et devant faire face à l’histoire ». Selon eux : « La dernière illustration l’irresponsabilité du pouvoir libéral face au désarroi des populations se retrouve dans les mesures gadgets issues du dernier conseil interministériel sur l’énergie, des pseudos mesures annoncées dans le but manifeste de désarmer les velléités populaires de légitimes contestations. Au lieu de satisfaire les exigences de tous les consommateurs relatives à la continuité, à la qualité et au coût du service public de l’électricité, le gouvernement persiste dans ses mesures improductives, pour se soustraire à l’obligation d’appliquer la vérité des prix dans l’autre sens, consécutivement au repli sensible des cours mondiaux du baril du pétrole ».