La cérémonie de passage de services entre Mamadou Diagne Ndiaye et Me Augustin Senghor aura finalement lieu, demain mercredi, 23 septembre, à partir de 11 heures au département des Sports, sis Zone B.
Initialement prévue avant le 14 septembre, elle avait été reportée à cause des activités politiques (vacances citoyennes) que Mamadou Lamine Keïta, ministre de la Jeunesse, des Sports et des Loisirs menées dans le sud du Sénégal.
Pour rappel, Mamadou Diagne Ndiaye avait été appelé à normaliser le football sénégalais qui avait “déraillé“ au lendemain de la déroute des Lions à Tamale au Ghana lors de la dernière Coupe d’Afrique des nations.
Les “Lions“ pourtant considérés comme des favoris pour le sacre continental, ont été contraints de quitter Kumasi en rasant les murs suite à leur élimination prématurée dés le premier tour.
Une défaite qui s’est répercutée sur la vie de la Fsf (24 démissions sur 33 membres du Comité directeur) avant sa dissolution.
C’est ainsi que l’Etat avec en accord avec la Fifa a mis en place un comité de normalisation du football (Cnf) avec à sa tête, la banquier Mamadou Diagne Ndiaye par ailleurs, président du comité national olympique et sportif sénégalais (Cnoss).
Après 15 mois de “normalisation“, il est parvenu à installer une Ligue professionnelle, adopter de nouveaux statuts et organiser une assemblée générale ordinaire élective le 30 août dernier, à l’issue de laquelle, Me Augustin Senghor, a été élu avec 174 voix contre 130 à El Hadji Malick Gackou et 26 à Oumar Diop.
Le président de l’Us Gorée ouvre ainsi une nouvelle ère avec un comité exécutif de 23 membres, pour une olympiade.
La cérémonie protocolaire de demain, va donc permettre à la nouvelle équipe fédérale d’entamer convenablement son travail. Elle pourra ainsi procéder à la mise en place des Commissions permanentes de la Fsf qui seront au nombre de 12, toutes dirigées par les six (6) vice-présidents du Bureau fédéral et les autres membres du Comité Exécutif. Exceptée, la Commission d’audit interne qui, elle, ne pourra être dirigée par un membre fédéral.
Autrement changement en perspective, c’est le poste du trésorier général qui va laisser place à la Com¬mission centrale des finances, qui sera constituée d’un président, d’un vice-président et de cinq membres.
Initialement prévue avant le 14 septembre, elle avait été reportée à cause des activités politiques (vacances citoyennes) que Mamadou Lamine Keïta, ministre de la Jeunesse, des Sports et des Loisirs menées dans le sud du Sénégal.
Pour rappel, Mamadou Diagne Ndiaye avait été appelé à normaliser le football sénégalais qui avait “déraillé“ au lendemain de la déroute des Lions à Tamale au Ghana lors de la dernière Coupe d’Afrique des nations.
Les “Lions“ pourtant considérés comme des favoris pour le sacre continental, ont été contraints de quitter Kumasi en rasant les murs suite à leur élimination prématurée dés le premier tour.
Une défaite qui s’est répercutée sur la vie de la Fsf (24 démissions sur 33 membres du Comité directeur) avant sa dissolution.
C’est ainsi que l’Etat avec en accord avec la Fifa a mis en place un comité de normalisation du football (Cnf) avec à sa tête, la banquier Mamadou Diagne Ndiaye par ailleurs, président du comité national olympique et sportif sénégalais (Cnoss).
Après 15 mois de “normalisation“, il est parvenu à installer une Ligue professionnelle, adopter de nouveaux statuts et organiser une assemblée générale ordinaire élective le 30 août dernier, à l’issue de laquelle, Me Augustin Senghor, a été élu avec 174 voix contre 130 à El Hadji Malick Gackou et 26 à Oumar Diop.
Le président de l’Us Gorée ouvre ainsi une nouvelle ère avec un comité exécutif de 23 membres, pour une olympiade.
La cérémonie protocolaire de demain, va donc permettre à la nouvelle équipe fédérale d’entamer convenablement son travail. Elle pourra ainsi procéder à la mise en place des Commissions permanentes de la Fsf qui seront au nombre de 12, toutes dirigées par les six (6) vice-présidents du Bureau fédéral et les autres membres du Comité Exécutif. Exceptée, la Commission d’audit interne qui, elle, ne pourra être dirigée par un membre fédéral.
Autrement changement en perspective, c’est le poste du trésorier général qui va laisser place à la Com¬mission centrale des finances, qui sera constituée d’un président, d’un vice-président et de cinq membres.