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Facebook lance 5 nouveaux «boutons»: data, data, data, data et data

Rédigé par leral.net le Jeudi 25 Février 2016 à 14:01 | | 0 commentaire(s)|

Si le réseau social avance que sa nouvelle politique pour réagir à un post doit permettre aux internautes de mieux s'exprimer, elle facilitera surtout la collecte de données.


 

Depuis des années, de nombreux internautes réclament à cor et à cri à Facebook l'ajout d'un bouton «Dislike» («Je n'aime pas») à côté de l'emblématique «Like» («J'aime»). Ils n'obtiendront jamais satisfaction pour des raisons que j'ai déjà données. À la place, au mois d'octobre, le réseau social a testé une suite de six émoticônes pour compléter le bouton «J'aime»: «J'adore», «Haha», «Wouah», «Yay» (chouette), «Triste» et «Grrr».

Ce mercredi 24 février, ces nouveaux boutons ont été progressivement mis en service pour les utilisateurs de Facebook dans le monde entier. À l'exception du «Yay», qui est passé à la trappe. Sammi Krug, responsable produits chez Facebook, m'a expliqué que comme l'ont montré les tests, le «Yay» n'a guère eu de succès auprès des utilisateurs, qui l'ont trouvé trop vague.

De quoi mieux exprimer vos sentiments...

Facebook a présenté cette nouvelle fonctionnalité, baptisée «Reactions», dans un article de blog:

«Nous avons recueilli les avis des utilisateurs et nous savons qu'il devrait y avoir davantage de possibilités pour exprimer facilement et rapidement ce que vous inspire une publication dans le fil d'actualité. C'est pourquoi nous lançons aujourd'hui "Reactions», extension du bouton "J'aime", pour élargir le choix de vos réactions à un post et vous permettre de les partager en toute simplicité.»

Ces nouveaux boutons sont visibles en maintenant appuyé le bouton «J'aime» (sur un smartphone ou une tablette) ou en positionnant le curseur de votre souris dessus (sur un ordinateur). Appuyez ou cliquez, selon le cas, sur l'émoticône de votre choix: l'icône correspondante apparaît sous le post, exactement comme pour le petit pouce bleu levé.

Au fil du (...) Lire la suite sur Slate.fr