Le plus grand réseau social du monde a été surpris en début de semaine par ce que sa direction a décrit comme "attaque coordonnée de pourriels exploitant une vulnérabilité de serveurs".
Pour que Facebook prenne conscience du problème il aura fallu qu’il soit relayé par… Twitter. Des centaines d’utilisateurs du site de micro-bloging ont rapporté trouver sur leur fil d’actualités, des photos d’homme avec la tête explosée, des vidéos porno gays, des cadavres de chiens, et autres images violentes ou à caractère sexuel explicite.
Concrètement, selon le Christian Post, le virus se serait propagé via une vidéo de Kim Kardashian. En cliquant sur le lien pour y accéder, les internautes étaient redirigés vers des pages à caractère pornographique, lesquelles entrainaient la propagation du virus à tous les contacts Facebook de l’internaute.
Par ailleurs, l’attaque avait également de vicieux qu’elle incitait les internautes "à faire du copier-coller et à exécuter des programmes malveillants en javascript dans la barre URL de leur navigateur, ce qui les a conduits à diffuser à leur insu ces contenus choquants".
Le site a assuré que ses "efforts ont drastiquement limité les dommages infligés par cette attaque” et veillait à identifier les responsables. Mais pour certains sites Facebook ne serait pas parvenu à bloquer totalement les spams, et des images pornographiques continueraient de se propager sur certains comptes. Ce qui pourrait amener Facebook à fermer provisoirement. A suivre…
Pour que Facebook prenne conscience du problème il aura fallu qu’il soit relayé par… Twitter. Des centaines d’utilisateurs du site de micro-bloging ont rapporté trouver sur leur fil d’actualités, des photos d’homme avec la tête explosée, des vidéos porno gays, des cadavres de chiens, et autres images violentes ou à caractère sexuel explicite.
Concrètement, selon le Christian Post, le virus se serait propagé via une vidéo de Kim Kardashian. En cliquant sur le lien pour y accéder, les internautes étaient redirigés vers des pages à caractère pornographique, lesquelles entrainaient la propagation du virus à tous les contacts Facebook de l’internaute.
Par ailleurs, l’attaque avait également de vicieux qu’elle incitait les internautes "à faire du copier-coller et à exécuter des programmes malveillants en javascript dans la barre URL de leur navigateur, ce qui les a conduits à diffuser à leur insu ces contenus choquants".
Le site a assuré que ses "efforts ont drastiquement limité les dommages infligés par cette attaque” et veillait à identifier les responsables. Mais pour certains sites Facebook ne serait pas parvenu à bloquer totalement les spams, et des images pornographiques continueraient de se propager sur certains comptes. Ce qui pourrait amener Facebook à fermer provisoirement. A suivre…