Ces accusations s’inscrivent dans le cadre de l’enquête déclenchée par le rapport de la Cellule Nationale de Traitement des Informations Financières (CENTIF), qui a mis en lumière des transactions suspectes de blanchiment de capitaux estimées à 125 milliards de FCFA.
Dans ce dossier, Farba Ngom est soupçonné d’avoir illégalement perçu 31 milliards de FCFA de la part d’un homme d’affaires, des faits qu’il conteste fermement devant le juge. Pour éviter la prison, il a proposé de mettre en garantie des immeubles d’une valeur équivalente au montant incriminé. Cependant, cette offre n’a pas convaincu la justice.
Alors que le procureur financier avait requis son placement sous mandat de dépôt, ses avocats – Mes Alassane Cissé, Baboucar Cissé, Ousmane Thiam, El Hadji Diouf et autres – ont plaidé pour une mise en liberté provisoire sous contrôle judiciaire. Le juge a rejeté cette demande et ordonné son incarcération.
Dans ce dossier, Farba Ngom est soupçonné d’avoir illégalement perçu 31 milliards de FCFA de la part d’un homme d’affaires, des faits qu’il conteste fermement devant le juge. Pour éviter la prison, il a proposé de mettre en garantie des immeubles d’une valeur équivalente au montant incriminé. Cependant, cette offre n’a pas convaincu la justice.
Alors que le procureur financier avait requis son placement sous mandat de dépôt, ses avocats – Mes Alassane Cissé, Baboucar Cissé, Ousmane Thiam, El Hadji Diouf et autres – ont plaidé pour une mise en liberté provisoire sous contrôle judiciaire. Le juge a rejeté cette demande et ordonné son incarcération.