
Il a considéré qu'on ne peut pas reprocher à quelqu'un d'user de sa liberté d'expression. "Par contre, ce que Souleymane a souligné prouve qu'il y a un malaise au sein du Pds. Il y a des responsables qui ne sont mus que par leurs projets et leurs plans de carrières personnels", a dit-il. Pour lui, ce malaise est dû à la concurrence manifeste entre les responsables de premier plan qui souhaitent foncièrement la perte de Karim parce qu'il devient de facto le principal responsable du parti. "Même moi j'ai dénoncé cela au comité directeur en disant que ceux qui le font ne le font pas du tout de bonne foi", a-t-il conclu.