Tout comme Amadou Bâ de Pastef, Fatima Kane a été arrêtée ce dimanche 29 octobre 2023, pour avoir diffusé sur sa page Facebook, la correspondance du directeur de l’Administration pénitentiaire au ministre de la Justice.
La publication de Fatima Kane a duré quelques minutes, avant qu’elle ne la supprime. Mais malheureusement, elle avait déjà été capturée. Interrogée, la mariée, mère d’un enfant et juriste de formation, a reconnu avoir partagé le document.
Elle a regretté son acte. « Je reconnais avoir publié cette lettre sur ma page Facebook. Le document était partagé sur mon mur Facebook et, par émotion, je l’ai publié sur ma page. Sur le coup, je ne pensais pas avoir violé la loi. Mais après qu’un de mes contacts a publié le communiqué du procureur, j’ai supprimé la publication, sur interpellation de ma mère", a-t-elle souligné, relate "Senenews".
A signaler que sa mère est la policière Seynabou Diouf, qui avait été nominée femme policière de l’année 2019, par l’ONU.
Fatima Kane ajoute qu’elle a fait une autre publication pour s’exprimer à propos de cette erreur. « Je regrette d’avoir fait cette publication. Car, je ne l’ai pas sciemment partagée. Je précise aussi que je ne participe jamais à l’irrespect des lois de notre pays », a dit Fatima Kane, qui a fait l’objet d’un retour de parquet.
La publication de Fatima Kane a duré quelques minutes, avant qu’elle ne la supprime. Mais malheureusement, elle avait déjà été capturée. Interrogée, la mariée, mère d’un enfant et juriste de formation, a reconnu avoir partagé le document.
Elle a regretté son acte. « Je reconnais avoir publié cette lettre sur ma page Facebook. Le document était partagé sur mon mur Facebook et, par émotion, je l’ai publié sur ma page. Sur le coup, je ne pensais pas avoir violé la loi. Mais après qu’un de mes contacts a publié le communiqué du procureur, j’ai supprimé la publication, sur interpellation de ma mère", a-t-elle souligné, relate "Senenews".
A signaler que sa mère est la policière Seynabou Diouf, qui avait été nominée femme policière de l’année 2019, par l’ONU.
Fatima Kane ajoute qu’elle a fait une autre publication pour s’exprimer à propos de cette erreur. « Je regrette d’avoir fait cette publication. Car, je ne l’ai pas sciemment partagée. Je précise aussi que je ne participe jamais à l’irrespect des lois de notre pays », a dit Fatima Kane, qui a fait l’objet d’un retour de parquet.