« Aucun promoteur ne m’a contacté, pour le moment. Je veux un combat cette saison et retenez que je n’ai pas quitté l’arène. J’y suis et j’y reste ! », avait dit Yakhya Diop alias Yékiki lors de la 7ème édition du Tournoi de lutte de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Tolac). Le lutteur a donc mis fin aux rumeurs et interrogations sur sa carrière. L’ancien roi des arènes n’a pas encore pris sa retraite. Il veut sûrement sortir de l’arène sur une note positive après sa défaite face à Balla Gaye 2 en 2012. Celui que l’artiste Youssou Ndour a surnommé « Empereur » travaille sans relâche aux entraînements dans l’espoir de voir son vœu se matérialiser. Sa forme physique affichée à Iba Mar Diop, le 11 octobre dernier, montre clairement sa détermination à redescendre dans l’arène de lutte sénégalaise.
Mais l’enfant de Joal se heurte à de très sérieux obstacles, principalement deux. D’abord, il doit convaincre les promoteurs à s’intéresser à lui. Même s’il se dit prête à revoir son cachet à la baisse, Yékini pourra-t-il être sur la même longueur d’onde que les promoteurs ? Ces derniers crient haut et fort leur intention de plafonner les cachets. Certains ont annoncé des négociations pour une revanche contre le « Lion » de Guédiawaye. Mais, jusqu’à quel montant Yakhya Diop est prêt à accepter ? Le retrait de certains grands sponsors compliquent également la tâche de certains promoteurs qui semblent se tourner vers les espoirs.
La seconde haie est liée aux adversaires. Aujourd’hui, presque personne ne veut affronter le roi déchu. Après Modou Lô, Eumeu Sène, c’est au tour de l’écurie Fass d’écarter Yékini sur son plan de redorer le blason du Tigre Gris Bordeaux. Celui-ci ayant du mal à honorer son trône. Comme s’ils avaient peur de lui, chacun repousse Yékini de son chemin qui mène à la gloire. Car on sait que prendre le fils de Bassoul est un risque énorme. Malgré ses trois saisons blanches, Yékini entretient toujours ce mythe. Il reste redoutable. Son seul espoir, c’est Bombardier, l’actuel roi des arènes. Le Mbourois s’est dit preneur.
EnQuête
Mais l’enfant de Joal se heurte à de très sérieux obstacles, principalement deux. D’abord, il doit convaincre les promoteurs à s’intéresser à lui. Même s’il se dit prête à revoir son cachet à la baisse, Yékini pourra-t-il être sur la même longueur d’onde que les promoteurs ? Ces derniers crient haut et fort leur intention de plafonner les cachets. Certains ont annoncé des négociations pour une revanche contre le « Lion » de Guédiawaye. Mais, jusqu’à quel montant Yakhya Diop est prêt à accepter ? Le retrait de certains grands sponsors compliquent également la tâche de certains promoteurs qui semblent se tourner vers les espoirs.
La seconde haie est liée aux adversaires. Aujourd’hui, presque personne ne veut affronter le roi déchu. Après Modou Lô, Eumeu Sène, c’est au tour de l’écurie Fass d’écarter Yékini sur son plan de redorer le blason du Tigre Gris Bordeaux. Celui-ci ayant du mal à honorer son trône. Comme s’ils avaient peur de lui, chacun repousse Yékini de son chemin qui mène à la gloire. Car on sait que prendre le fils de Bassoul est un risque énorme. Malgré ses trois saisons blanches, Yékini entretient toujours ce mythe. Il reste redoutable. Son seul espoir, c’est Bombardier, l’actuel roi des arènes. Le Mbourois s’est dit preneur.
EnQuête