Déroulé avec maestria, et originalité, sur des sites symboliques ( cité Aline Sitoe, Ucad, Guédiawaye et King Fahd) avec le concours d’experts réputés sur les questions de genre, Coumba Gawlo a placé ce 8 Mars sous le signe de la maturité artistique. Le festival lancé du 6 au 8 Mars dans l’agenda culturel sénégalais, a révélé la dimension planétaire de l’artiste qui a réussi, sur le plan organisationnel et a déroulé un agenda confortable aux sept artistes africains invités.
Du forum de sensibilisation animé à la cité Claudel part des panélistes rompus aux plaidoyers pour les femmes au diner de gala historique qui a sacré les « Linguère du développement », au King Fahd Palace, la promotrice de l’événement a élevé la barre haut, épousant les normes et standards internationaux, tant sur le profil des récipiendaires que sur la carrure des invités de marque présents à ce rendez-vous mondain dakarois .Le ballet diplomatique, défiant les règles protocolaires, fut impressionnant et la dizaine d’ambassadeurs qui côtoyait la table des chefs d’entreprise ou patrons d’Ong, affichant sa proximité avec l’artiste , savourait à sa juste valeur ce moment fort de communion , multiforme, pour valoriser la femme.
La révélation faite par le ministre de la Culture, Abdou Latif Coulibaly, témoin de l’histoire, sur la trajectoire de Coumba Gawlo depuis ses débuts, suffit à comprendre que la fierté en elle, pour cette première édition, reste la sensation de l’avoir bien fait. La seconde édition du festival « Chant des Linguère » promet d’être plus aboutie au regard des performances réalisées pour ce coup d’essai, qui fut un coup de maitresse pour la Diva.
Du forum de sensibilisation animé à la cité Claudel part des panélistes rompus aux plaidoyers pour les femmes au diner de gala historique qui a sacré les « Linguère du développement », au King Fahd Palace, la promotrice de l’événement a élevé la barre haut, épousant les normes et standards internationaux, tant sur le profil des récipiendaires que sur la carrure des invités de marque présents à ce rendez-vous mondain dakarois .Le ballet diplomatique, défiant les règles protocolaires, fut impressionnant et la dizaine d’ambassadeurs qui côtoyait la table des chefs d’entreprise ou patrons d’Ong, affichant sa proximité avec l’artiste , savourait à sa juste valeur ce moment fort de communion , multiforme, pour valoriser la femme.
La révélation faite par le ministre de la Culture, Abdou Latif Coulibaly, témoin de l’histoire, sur la trajectoire de Coumba Gawlo depuis ses débuts, suffit à comprendre que la fierté en elle, pour cette première édition, reste la sensation de l’avoir bien fait. La seconde édition du festival « Chant des Linguère » promet d’être plus aboutie au regard des performances réalisées pour ce coup d’essai, qui fut un coup de maitresse pour la Diva.