Le parricide continue de défrayer la chronique au quartier Mbour II de Thiès. Le 17 juillet dernier, vers 23 heures, Mouhamadou Moustapha Diallo avait froidement égorgé son père, Guéda Diallo, avant de disparaître dans la nature.
Né le 18 janvier 1997, le meurtrier présumé, a été interpellé ce 29 juillet 2021 dans la zone de Cayar, après quelques jours de cavale. Lors de son interrogatoire au commissariat de Thiès, sous le régime de la garde-à-vue, Mouhamadou Moustapha Diallo a livré des aveux sanguinaires aux enquêteurs.
Sans sourciller, il a reconnu qu'après une série de réprimandes faites par son père à son endroit, il a pris un couteau dans la chambre de celui-ci. Ensuite, il a attendu que son père dorme pour lui trancher littéralement le cou.
À la suite de son acte sordide, le mis en cause indique avoir jeté le couteau aux abords de la maison familiale, avant de se rendre à Cayar où il est tombé.
À noter que Mouhamadou Moustapha Diallo n’a exprimé aucun regret face aux policiers. Tout au plus, le meurtrier, qui ne jouirait pas de toutes ses facultés, n’a cessé de répéter qu’il ne supportait plus les réprimandes de son défunt père.
Libération online
Né le 18 janvier 1997, le meurtrier présumé, a été interpellé ce 29 juillet 2021 dans la zone de Cayar, après quelques jours de cavale. Lors de son interrogatoire au commissariat de Thiès, sous le régime de la garde-à-vue, Mouhamadou Moustapha Diallo a livré des aveux sanguinaires aux enquêteurs.
Sans sourciller, il a reconnu qu'après une série de réprimandes faites par son père à son endroit, il a pris un couteau dans la chambre de celui-ci. Ensuite, il a attendu que son père dorme pour lui trancher littéralement le cou.
À la suite de son acte sordide, le mis en cause indique avoir jeté le couteau aux abords de la maison familiale, avant de se rendre à Cayar où il est tombé.
À noter que Mouhamadou Moustapha Diallo n’a exprimé aucun regret face aux policiers. Tout au plus, le meurtrier, qui ne jouirait pas de toutes ses facultés, n’a cessé de répéter qu’il ne supportait plus les réprimandes de son défunt père.
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