Mardi 1er février, les forces de sécurité avaient intercepté un véhicule 4x4 soupçonné d’appartenir à al-Qaïda près d’Arkiz, à deux heures de route au sud de Nouakchott. Un suspect avait été interpellé, deux autres avaient réussi à prendre la fuite. Un arsenal d’armes et de munitions avaient été saisis dans le 4x4, piégé avec une tonne et demie d’explosifs.
Mercredi, à deux heures du matin, l’armée avait fait exploser un deuxième 4x4, à seulement douze kilomètres de la capitale, tuant à son bord trois terroristes présumés. Au cours d’une conférence de presse, le ministre de la Défense avait indiqué que les véhicules piégés étaient destinés à commettre un double attentat à Nouakchott, l’un contre une caserne militaire, l’autre contre l’ambassade de France. Le ministre avait également souligné que d’importants moyens terrestres et aériens étaient déployés pour retrouver les fuyards d’Arkiz.
Leur cavale en direction de la frontière sénégalaise a pris fin ce samedi 6 février, au terme de quatre jours de fuite, au cours desquels les deux suspects ont tué un gendarme. Finalement encerclés dans la localité de Dar-el-Barka près du fleuve, l’un des hommes s’est fait exploser, le second a été fait prisonnier.
« C’est une zone forestière où il est très difficile de repérer un individu, a déclaré une source sécuritaire. La coordination entre les corps mobilisés a été cruciale, tout comme l’appui des populations locales qui ont fourni des renseignements précieux aux unités de gendarmerie, a également précisé cette source, ajoutant : les forces sénégalaises étaient également mobilisées de leur côté de la frontière, au cas où ».
politicosn
Mercredi, à deux heures du matin, l’armée avait fait exploser un deuxième 4x4, à seulement douze kilomètres de la capitale, tuant à son bord trois terroristes présumés. Au cours d’une conférence de presse, le ministre de la Défense avait indiqué que les véhicules piégés étaient destinés à commettre un double attentat à Nouakchott, l’un contre une caserne militaire, l’autre contre l’ambassade de France. Le ministre avait également souligné que d’importants moyens terrestres et aériens étaient déployés pour retrouver les fuyards d’Arkiz.
Leur cavale en direction de la frontière sénégalaise a pris fin ce samedi 6 février, au terme de quatre jours de fuite, au cours desquels les deux suspects ont tué un gendarme. Finalement encerclés dans la localité de Dar-el-Barka près du fleuve, l’un des hommes s’est fait exploser, le second a été fait prisonnier.
« C’est une zone forestière où il est très difficile de repérer un individu, a déclaré une source sécuritaire. La coordination entre les corps mobilisés a été cruciale, tout comme l’appui des populations locales qui ont fourni des renseignements précieux aux unités de gendarmerie, a également précisé cette source, ajoutant : les forces sénégalaises étaient également mobilisées de leur côté de la frontière, au cas où ».
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