Avec 40 % du Pib, plus de 50 % des emploi créés, 60 % des exportations, ‘l’importance du rôle des petites et moyennes entreprises (Pme) dans le développement d’un pays n’est plus à démontrer’, a affirmé le Premier ministre, Souleymane Ndéné Ndiaye, hier. Ces quelques chiffres traduisent, en effet, la richesse que les Pme créent et surtout le potentiel qu’elles incarnent dans la croissance du Sénégal. Pourtant, et c’est le paradoxe pointé par le président de la Confédération nationale des entrepreneurs du Sénégal (Cnes), ‘si tout le monde reconnaît leur dynamisme, tout le monde reconnaît également qu’il y a une insuffisance du financement et de l’information’, souligne Mansour Kama. En effet, dit-il, plus de 80 % des Pme considèrent l’accès au financement comme un frein majeur au développement de leurs activités.
Qu’il s’agisse d’un problème dû à la frilosité des banques à l’égard des Pme, qui voient en elles de nombreux risques, d’une insuffisance des ressources à long terme, ou d’un problème d’asymétrie information, le Forum international sur le financement des Pme a commencé par pointer du doigt ces nombreuses difficultés dont souffrent les entreprises avant d’essayer d’y apporter des solutions. Améliorer la qualité de l’information entre intermédiaires financiers et les Pme, ou encore développer davantage des mécanismes de garantie plus fiables, sont quelques pistes qui ont, entre autres, été proposées. Car, trouver des solutions à ce manque, trop souvent handicapant, de financement est l’objectif que s’est fixé cette bourse des Pme au terme des deux jours de travaux et de réflexion autour du thème ‘Accès au financement et croissance durable des Pme’.
Pour la première fois réalisé au Sénégal, à l’initiative du ministre en charge des Pme, Abdoulaye Baldé, ce forum réunit des acteurs financiers et non financiers qui interviennent dans la vie des Pme, venant de tous les continents. Sous un double format, il consiste d’une part en une exposition par le biais de stands où les offreurs et demandeurs de financement peuvent échanger directement, et revêt, d’autre part, un caractère plus scientifique avec les ateliers thématiques sur des sujets qui intéressent les Pme. ‘Une des vocations de ce forum est surtout d’informer sur les ressources et services existant, insuffisamment utilisés et peu connus, et d’encourager de nouvelles approches destinées à améliorer l’accès des Pme aux financements’, précise Souleymane Ndéné Ndiaye. Qui semble s’inscrire dans une continuité de la politique du président Abdoulaye Wade. En effet, notant que le forum se tient quatre jours seulement après le Cpi, le Premier ministre rappelle toutes les mesures prises par l’Etat depuis 2000 pour améliorer ce secteur. Ce qui traduit, selon lui, une ‘volonté de Wade de faire jouer aux Pme un rôle prépondérant dans le processus d’émergence économique de notre pays’.
Persuadé que le secteur des Pme doit être le moteur de cette émergence économique, Ndiaye a pris l’exemple de la croissance fulgurante et récente des pays d’Asie du Sud- Est. ‘C’est pourquoi, nous considérons les Pme sénégalaises comme le pilier du programme économique d’Abdoulaye Wade’. Ainsi, le numéro un du gouvernement revient sur le rôle de l’Etat de support de ces entreprises et conclu qu’étant donné que ‘les Pme sont les créateurs de richesses, d’emploi… l’Etat a donc le devoir de les accompagner’.
Qu’il s’agisse d’un problème dû à la frilosité des banques à l’égard des Pme, qui voient en elles de nombreux risques, d’une insuffisance des ressources à long terme, ou d’un problème d’asymétrie information, le Forum international sur le financement des Pme a commencé par pointer du doigt ces nombreuses difficultés dont souffrent les entreprises avant d’essayer d’y apporter des solutions. Améliorer la qualité de l’information entre intermédiaires financiers et les Pme, ou encore développer davantage des mécanismes de garantie plus fiables, sont quelques pistes qui ont, entre autres, été proposées. Car, trouver des solutions à ce manque, trop souvent handicapant, de financement est l’objectif que s’est fixé cette bourse des Pme au terme des deux jours de travaux et de réflexion autour du thème ‘Accès au financement et croissance durable des Pme’.
Pour la première fois réalisé au Sénégal, à l’initiative du ministre en charge des Pme, Abdoulaye Baldé, ce forum réunit des acteurs financiers et non financiers qui interviennent dans la vie des Pme, venant de tous les continents. Sous un double format, il consiste d’une part en une exposition par le biais de stands où les offreurs et demandeurs de financement peuvent échanger directement, et revêt, d’autre part, un caractère plus scientifique avec les ateliers thématiques sur des sujets qui intéressent les Pme. ‘Une des vocations de ce forum est surtout d’informer sur les ressources et services existant, insuffisamment utilisés et peu connus, et d’encourager de nouvelles approches destinées à améliorer l’accès des Pme aux financements’, précise Souleymane Ndéné Ndiaye. Qui semble s’inscrire dans une continuité de la politique du président Abdoulaye Wade. En effet, notant que le forum se tient quatre jours seulement après le Cpi, le Premier ministre rappelle toutes les mesures prises par l’Etat depuis 2000 pour améliorer ce secteur. Ce qui traduit, selon lui, une ‘volonté de Wade de faire jouer aux Pme un rôle prépondérant dans le processus d’émergence économique de notre pays’.
Persuadé que le secteur des Pme doit être le moteur de cette émergence économique, Ndiaye a pris l’exemple de la croissance fulgurante et récente des pays d’Asie du Sud- Est. ‘C’est pourquoi, nous considérons les Pme sénégalaises comme le pilier du programme économique d’Abdoulaye Wade’. Ainsi, le numéro un du gouvernement revient sur le rôle de l’Etat de support de ces entreprises et conclu qu’étant donné que ‘les Pme sont les créateurs de richesses, d’emploi… l’Etat a donc le devoir de les accompagner’.
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