Très souvent pour assouvir leur désir de vengeance dans ce douloureux départ et voire inacceptable, certains proches de défunt n'hésiteraient pas à s'en prendre au personnel médical, considéré à la fois comme coupable et bouc émissaire. C'est d'ailleurs ce que fit monsieur T.I, vendredi 28 septembre, à l’Hôpital général d'Abobo Sud (Abidjan), quand quelques secondes après avoir perdu son jeune fils, il se mit à tabasser tout l'effectif du personnel présent ce jour dans le service d'urgence.
En effet, selon les faits qui n'ont été rapportés vendredi 28 septembre par le site koaci.com, T.I n'aurait pas supporté l'incapacité des médecins, ajoutée à voir de ses propres yeux la mort de son jeune fils. Ce dernier était très optimiste à son arrivée dans ce centre hospitalier et considérait aussi que malgré les convulsions, son fils maintenait toujours ses chances de survie jusqu'à ce qu'il succombe au cours de l'intervention des médecins.
De l'autre coté, selon les explications des experts dans ce service, la dégradation très avancée de l'état général et la déshydratation sévère de type C suffoquaient le malade. En tout ce sont deux interprétations radicalement opposées dont l'un profane et l'autre scientifique qui ont malgré tout donné raison au plus fort quand T.I en faisant fi de ses explications rationnelles n'a pas hésité à utiliser ses points pour se faire justice. Un tel dévouement à la dimension d'Hercule chez cet individu entré dans une certaine colère incontrôlable n'a non plus eu d'adversaire à sa mesure puisqu'il réussit ce jour là à rosser tout un personnel; infirmiers, médecins, garçons de salles, aides soignantes mêlées avant de conclure par une plainte déposée au commissariat.
Lesenegalais.net (Avec koaci.com)
En effet, selon les faits qui n'ont été rapportés vendredi 28 septembre par le site koaci.com, T.I n'aurait pas supporté l'incapacité des médecins, ajoutée à voir de ses propres yeux la mort de son jeune fils. Ce dernier était très optimiste à son arrivée dans ce centre hospitalier et considérait aussi que malgré les convulsions, son fils maintenait toujours ses chances de survie jusqu'à ce qu'il succombe au cours de l'intervention des médecins.
De l'autre coté, selon les explications des experts dans ce service, la dégradation très avancée de l'état général et la déshydratation sévère de type C suffoquaient le malade. En tout ce sont deux interprétations radicalement opposées dont l'un profane et l'autre scientifique qui ont malgré tout donné raison au plus fort quand T.I en faisant fi de ses explications rationnelles n'a pas hésité à utiliser ses points pour se faire justice. Un tel dévouement à la dimension d'Hercule chez cet individu entré dans une certaine colère incontrôlable n'a non plus eu d'adversaire à sa mesure puisqu'il réussit ce jour là à rosser tout un personnel; infirmiers, médecins, garçons de salles, aides soignantes mêlées avant de conclure par une plainte déposée au commissariat.
Lesenegalais.net (Avec koaci.com)
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