Nous pouvons citer par exemple l’extinction des brasiers comme en Mauritanie, au Madagascar, en Guinée Bissau et des conflits régionaux comme ceux soudano-tchadien, israélo-palestinien etc.Aujourd’hui, si le Président Abdoulaye Wade est couvert de compliments à travers le monde, on peut en lire la main de Gadio (Prix de la Ligue internationale des Droits de l’homme, le Prix Houphouët Boigny pour la recherche de la Paix et le Prix Harriman pour la Démocratie du NDI). Ce succès « bœuf » de notre Diplomatie est rendu possible grâce à la volonté et à la clairvoyance d’esprit d’un homme qui a toujours privilégié l’action à la parole. Et-il lui aussi un admirateur du Philosophe stoïcien romain, Sénèque qui voyait le silence comme une vertu ?
Au sujet de sa destitution, plusieurs raisons sont évoquées : sa guillotine politique aux fins de débroussailler et d’ouvrir large l’avenue qu’empruntera le Prince héritier Karim pour un séjour à " Keur Gou Magg". Docteur Gadio est considéré comme un écueil de par son audience nationale et internationale. Et chez les adeptes de la reptation, le mot d’ordre est : « …à l’abattoir ! ». Mais ce qui heurte notre conscience nous tous, c’est ce changement brusque de discours de ce militant acharné du Wadisme. A peine remercié du gouvernement (moins de quarante huit heures (48 h), Cheikh Tidjane Gadio à la manière d’un opposant radical du régime libéral se lance dans l’invective. Dans son message d’adieu, l’on s’aperçoit aisément que la discourtoisie et l’incartade le disputaient à l’ingratitude exacerbée. Que ce soit indigne d’une personne qui, près de dix (10) ans reste biberonné à la source du Wadisme !
Combattre la mal gouvernance, la corruption, vous-dites ? Oubliez-vous que vous étiez au cœur du système libéral ? Cessez de nous bêtifier ! Nous n’avons pas la tête si trouée, la conscience si flasque.
Gadio, nous t’aimons bien mais sois plus courtois.
Ibrahima Ngom Damel,
Journaliste-écrivain
Tel : 77 728 40 52
E-mail : yboupenda@yahoo.fr
*Cette contribution était écrite au courant de la semaine qui a vu le limogeage du Gouvernement, de Monsieur Cheikh Tidjane GADIO (Septembre2009).Elle a déjà été publiée dans différents organes de Presse de la place.
Au sujet de sa destitution, plusieurs raisons sont évoquées : sa guillotine politique aux fins de débroussailler et d’ouvrir large l’avenue qu’empruntera le Prince héritier Karim pour un séjour à " Keur Gou Magg". Docteur Gadio est considéré comme un écueil de par son audience nationale et internationale. Et chez les adeptes de la reptation, le mot d’ordre est : « …à l’abattoir ! ». Mais ce qui heurte notre conscience nous tous, c’est ce changement brusque de discours de ce militant acharné du Wadisme. A peine remercié du gouvernement (moins de quarante huit heures (48 h), Cheikh Tidjane Gadio à la manière d’un opposant radical du régime libéral se lance dans l’invective. Dans son message d’adieu, l’on s’aperçoit aisément que la discourtoisie et l’incartade le disputaient à l’ingratitude exacerbée. Que ce soit indigne d’une personne qui, près de dix (10) ans reste biberonné à la source du Wadisme !
Combattre la mal gouvernance, la corruption, vous-dites ? Oubliez-vous que vous étiez au cœur du système libéral ? Cessez de nous bêtifier ! Nous n’avons pas la tête si trouée, la conscience si flasque.
Gadio, nous t’aimons bien mais sois plus courtois.
Ibrahima Ngom Damel,
Journaliste-écrivain
Tel : 77 728 40 52
E-mail : yboupenda@yahoo.fr
*Cette contribution était écrite au courant de la semaine qui a vu le limogeage du Gouvernement, de Monsieur Cheikh Tidjane GADIO (Septembre2009).Elle a déjà été publiée dans différents organes de Presse de la place.