Les « Lions » du Sénégal de football jouent leur avenir dans les éliminatoires combinées de la Can et du Mondial 2010 ce samedi 11 octobre au stade Léopold Sédar Senghor face aux Scorpions de la Gambie. La bande à Tony Sylvan 3e avec 8 points + 2 derrière la Gambie qui totalise le même nombre de points mais avec un goal différent de +3, doit donc vaincre ou périr.
Devant se jouer sous un soleil de plomb pour des joueurs évoluant tous dans les champions européens, Lamine Ndiaye n’a pas manqué de soulever des inquiétudes sur l’heure du match prévue à 16 heures. Et d’ores et déjà, il a établi une stratégie pour acclimater les « Lions ». « Les joueurs ont senti la chaleur. Ils ont souffert. C’est pourquoi, nous avons rallongé la séance dans le but de les habituer », confie-t-il, en marge de la deuxième séance d’entraînement, la première ouverte à la presse hier, mardi 7 octobre, à la base militaire de Ouakam (BA 160). Et le sélectionneur national de poursuivre, « demain (aujourd’hui, Ndlr), nous aurons une séance plus longue. Et après-demain, jeudi, nous allons décliner. Nous allons même changer l’horaire d’entraînement ». « Parce que, estime-t-il, il faudra récupérer pour emmagasiner beaucoup d’énergie pour être prêt samedi ».
A la question de savoir s’il n’y a un régime spécifique pour les joueurs qui ne sont pas titulaires dans leur club, Lamine Ndiaye répond : « vous savez, nous venons de faire une heure 40 minutes d’entraînement (…). Et puis ces joueurs s’entraînent tous les jours dans leur club. Et ils s’entraînent peut-être même plus que les autres (titulaires, Ndlr). D’autant plus qu’ils ne jouent pas tout le temps ».
Revenant sur la séance proprement dite, il soutient, qu’elle avait comme objectif, la « maîtrise collective ». « Nous avons demandé aux joueurs qui n’ont pas de ballon d’être accessibles, d’être vus. Ce qui veut simplement dire qu’il fallait se déplacer entre deux adversaires, dans les intervalles », estime-t-il. « En revanche poursuit-il, ceux qui avaient le ballon, doivent s’appliquer sur la transmission, sur le contrôle. Parce que la qualité technique est très importante dans le football. Elle te permet d’économiser. Et quand on arrive à bien contrôler, à bien faire des passes, ça empêche de faire beaucoup de courses ».
Et d’ajouter : « nous avons travaillé pour les attaquants, pour ceux qui ont l’habitude de jouer devant le but ». « Nous avons donc travaillé un tout petit peu la finition, c’est-à-dire des centres, des reprises », conclut-il.
Devant se jouer sous un soleil de plomb pour des joueurs évoluant tous dans les champions européens, Lamine Ndiaye n’a pas manqué de soulever des inquiétudes sur l’heure du match prévue à 16 heures. Et d’ores et déjà, il a établi une stratégie pour acclimater les « Lions ». « Les joueurs ont senti la chaleur. Ils ont souffert. C’est pourquoi, nous avons rallongé la séance dans le but de les habituer », confie-t-il, en marge de la deuxième séance d’entraînement, la première ouverte à la presse hier, mardi 7 octobre, à la base militaire de Ouakam (BA 160). Et le sélectionneur national de poursuivre, « demain (aujourd’hui, Ndlr), nous aurons une séance plus longue. Et après-demain, jeudi, nous allons décliner. Nous allons même changer l’horaire d’entraînement ». « Parce que, estime-t-il, il faudra récupérer pour emmagasiner beaucoup d’énergie pour être prêt samedi ».
A la question de savoir s’il n’y a un régime spécifique pour les joueurs qui ne sont pas titulaires dans leur club, Lamine Ndiaye répond : « vous savez, nous venons de faire une heure 40 minutes d’entraînement (…). Et puis ces joueurs s’entraînent tous les jours dans leur club. Et ils s’entraînent peut-être même plus que les autres (titulaires, Ndlr). D’autant plus qu’ils ne jouent pas tout le temps ».
Revenant sur la séance proprement dite, il soutient, qu’elle avait comme objectif, la « maîtrise collective ». « Nous avons demandé aux joueurs qui n’ont pas de ballon d’être accessibles, d’être vus. Ce qui veut simplement dire qu’il fallait se déplacer entre deux adversaires, dans les intervalles », estime-t-il. « En revanche poursuit-il, ceux qui avaient le ballon, doivent s’appliquer sur la transmission, sur le contrôle. Parce que la qualité technique est très importante dans le football. Elle te permet d’économiser. Et quand on arrive à bien contrôler, à bien faire des passes, ça empêche de faire beaucoup de courses ».
Et d’ajouter : « nous avons travaillé pour les attaquants, pour ceux qui ont l’habitude de jouer devant le but ». « Nous avons donc travaillé un tout petit peu la finition, c’est-à-dire des centres, des reprises », conclut-il.
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