Si Yaya Jammeh a élargi : Fabien Nifouna, Abdoulaye Diedhiou, Samsidine Diedhiou, Moumouny Bah, Mansour Diatta, Sidaty Diatta, Ousmane Diedhiou, Abdoulaye Diatta et Thomas Diedhiou, huit autres combattants du Mfdc restent toujours en prison. Leurs noms nous ont été livrés par une source concordante.
Il s’agit de : Lansana prospère Diatta, Ousmane Badji, Daouda Diatta, Maouloude Amougna Badji, Ibrahima Coly, Abdou Salam Dieme, Nouha Dieme, Sidate Diedhiou. Ces derniers croupissent toujours dans les geôles du pays de Yaya Jammeh.
Cependant les motivations d’un tel acte restent inconnues pour le moment. Mais ce qui est constant, c’est que le Mfdc, dans son écrasante majorité, a exigé, depuis l'arrestation de ses militants, leur libération totale. Il en a fait une exigence.
C’est dans ce cadre, à en croire certaines indiscrétions que l'Etat du Sénégal soucieux de la relance des pourparlers de paix, s'était investi pour la libération des rebelles emprisonnés en Gambie.
La décision de Banjul, de répondre favorablement à cette requête est loin de constituer une réponse à une exigence du mouvement indépendantiste, mais plutôt un acte d'apaisement, entre le Mfdc et Yaya Jammeh.
Parce que la tension était perceptible entre l’aile combattante qui fait souvent du territoire gambien sa base arrière et le Président gambien après l'arrestation de ces éléments.
Certains voient en cet acte de Banjul, une volonté d'aller dans le sens de la décrispation de ses relations avec Dakar, après que les armées des deux pays ont décidé de la création d'une patrouille commune au Nord Sindian, pour mater "Atika", la branche armée du Mfdc jusque dans ses derniers retranchements.
Aujourd’hui, cette exigence du Mfdc est remise au goût du jour pour la libération totale de ses membres. Une condition préalable à la reprise des négociations avec le gouvernement du Sénégal.
Sékou Dianko DIATTA rewmi
Il s’agit de : Lansana prospère Diatta, Ousmane Badji, Daouda Diatta, Maouloude Amougna Badji, Ibrahima Coly, Abdou Salam Dieme, Nouha Dieme, Sidate Diedhiou. Ces derniers croupissent toujours dans les geôles du pays de Yaya Jammeh.
Cependant les motivations d’un tel acte restent inconnues pour le moment. Mais ce qui est constant, c’est que le Mfdc, dans son écrasante majorité, a exigé, depuis l'arrestation de ses militants, leur libération totale. Il en a fait une exigence.
C’est dans ce cadre, à en croire certaines indiscrétions que l'Etat du Sénégal soucieux de la relance des pourparlers de paix, s'était investi pour la libération des rebelles emprisonnés en Gambie.
La décision de Banjul, de répondre favorablement à cette requête est loin de constituer une réponse à une exigence du mouvement indépendantiste, mais plutôt un acte d'apaisement, entre le Mfdc et Yaya Jammeh.
Parce que la tension était perceptible entre l’aile combattante qui fait souvent du territoire gambien sa base arrière et le Président gambien après l'arrestation de ces éléments.
Certains voient en cet acte de Banjul, une volonté d'aller dans le sens de la décrispation de ses relations avec Dakar, après que les armées des deux pays ont décidé de la création d'une patrouille commune au Nord Sindian, pour mater "Atika", la branche armée du Mfdc jusque dans ses derniers retranchements.
Aujourd’hui, cette exigence du Mfdc est remise au goût du jour pour la libération totale de ses membres. Une condition préalable à la reprise des négociations avec le gouvernement du Sénégal.
Sékou Dianko DIATTA rewmi