Le gigantesque verger de feu Diallo «Pithie», situé dans la commune de Bambilor, est devenu une coquille vide. Il a été en effet transformé en un vaste site qui a perdu sa vocation première d’habitation et d’agriculture, à cause des opérations d’excavation en cours sur l’assiette foncière.
Et d’après Alassane Diallo, ces excavations sont en train de se faire en violation des clauses de contrat avec l’entrepreneur qui stipulent ceci : «la société Etdk s’engage à ne pas extraire ou faire extraire du sable au-delà du niveau du sol. L’extraction doit impérativement être limitée au ras du sol : condition sine qua none. Il n’est en aucun cas permis de creuser, si minime soit la profondeur. Le non-respect de cet engagement entraînerait d’office la rupture du contrat», lit-ont dans la copie du contrat de partenariat.
4 héritiers indexés agissent à l’insu des 37 autres héritiers de feu Diallo «Pithie»
Le troisième fils de feu Diallo «Pithie» déplore les excavations et lâche ceci : «le verger de notre défunt papa sis à Bambilor, d’une superficie de plus d’une centaine d’hectares, est en train d’être saccagé, massacré et complément détruit par quatre héritiers de la famille et leur entrepreneur». M. Diallo soupçonne certains de ses frères héritiers – qu’il qualifie de la bande des quatre – de faire partir l’entrepreneur désigné de la famille, Cheikh Mbengue, à leur insu, avant de le remplacer par un autre entrepreneur, Assane Bèye.
800 camions transportent chaque jour le sable ; le contrat de partenariat parlait de l’extraction de l’excédent de sable
M. Diallo soutient que l’objectif premier de l’entrepreneur consistait à commercialiser l’excédent de sable dans le périmètre du verger. Mais, grande fut sa stupéfaction lorsqu’il a constaté, avec huissier de justice, que ses quatre frères dont deux étaient désignés par le séquestre pour représenter les 41 enfants de leur défunt père, Diallo «Pithie», que l’entrepreneur Bèye a mis de côté le contrat de partenariat pour creuser le sol jusqu’à des profondeurs de plus de quatre mètres, ceci en présence des représentants de la famille. «J’ai pris des photos et contacté le séquestre pour l’informer. Mais ce dernier, malheureusement, n’a rien fait jusqu’à présent. Bien que l’entrepreneur ait signé avec le séquestre que son travail était juste d’enlever l’excédent de sable. Ce qui est une violation du contrat de partenariat. 800 camions transportent chaque jour le sable du verger», a-t-il fait remarquer.
L’opacité de la gestion de la cagnotte de la famille du défunt célèbre oiselier dénoncée
Le troisième fils de feu Diallo «Pithie» indique que la commercialisation de l’excédent de sable du périmètre visait pourtant à pouvoir constituer une cagnotte pour financer le bail du site que la famille essaie d’obtenir auprès des autorités étatiques. «Mais hélas, la bande de ces quatre-là a préféré mettre en avant ses intérêts personnels». M. Diallo a déploré aussi la gestion opaque de la cagnotte et l’absence de comptes rendus financiers de l’utilisation des fonds. Il a interpellé les autorités de l’Etat sur le «saccage organisé» de l’assiette foncière du périmètre du verger à Bambilor, aux fins d’intervenir pour stopper net l’opération de gâchis.
Vieux Père NDIAYE jotay
Et d’après Alassane Diallo, ces excavations sont en train de se faire en violation des clauses de contrat avec l’entrepreneur qui stipulent ceci : «la société Etdk s’engage à ne pas extraire ou faire extraire du sable au-delà du niveau du sol. L’extraction doit impérativement être limitée au ras du sol : condition sine qua none. Il n’est en aucun cas permis de creuser, si minime soit la profondeur. Le non-respect de cet engagement entraînerait d’office la rupture du contrat», lit-ont dans la copie du contrat de partenariat.
4 héritiers indexés agissent à l’insu des 37 autres héritiers de feu Diallo «Pithie»
Le troisième fils de feu Diallo «Pithie» déplore les excavations et lâche ceci : «le verger de notre défunt papa sis à Bambilor, d’une superficie de plus d’une centaine d’hectares, est en train d’être saccagé, massacré et complément détruit par quatre héritiers de la famille et leur entrepreneur». M. Diallo soupçonne certains de ses frères héritiers – qu’il qualifie de la bande des quatre – de faire partir l’entrepreneur désigné de la famille, Cheikh Mbengue, à leur insu, avant de le remplacer par un autre entrepreneur, Assane Bèye.
800 camions transportent chaque jour le sable ; le contrat de partenariat parlait de l’extraction de l’excédent de sable
M. Diallo soutient que l’objectif premier de l’entrepreneur consistait à commercialiser l’excédent de sable dans le périmètre du verger. Mais, grande fut sa stupéfaction lorsqu’il a constaté, avec huissier de justice, que ses quatre frères dont deux étaient désignés par le séquestre pour représenter les 41 enfants de leur défunt père, Diallo «Pithie», que l’entrepreneur Bèye a mis de côté le contrat de partenariat pour creuser le sol jusqu’à des profondeurs de plus de quatre mètres, ceci en présence des représentants de la famille. «J’ai pris des photos et contacté le séquestre pour l’informer. Mais ce dernier, malheureusement, n’a rien fait jusqu’à présent. Bien que l’entrepreneur ait signé avec le séquestre que son travail était juste d’enlever l’excédent de sable. Ce qui est une violation du contrat de partenariat. 800 camions transportent chaque jour le sable du verger», a-t-il fait remarquer.
L’opacité de la gestion de la cagnotte de la famille du défunt célèbre oiselier dénoncée
Le troisième fils de feu Diallo «Pithie» indique que la commercialisation de l’excédent de sable du périmètre visait pourtant à pouvoir constituer une cagnotte pour financer le bail du site que la famille essaie d’obtenir auprès des autorités étatiques. «Mais hélas, la bande de ces quatre-là a préféré mettre en avant ses intérêts personnels». M. Diallo a déploré aussi la gestion opaque de la cagnotte et l’absence de comptes rendus financiers de l’utilisation des fonds. Il a interpellé les autorités de l’Etat sur le «saccage organisé» de l’assiette foncière du périmètre du verger à Bambilor, aux fins d’intervenir pour stopper net l’opération de gâchis.
Vieux Père NDIAYE jotay