Il s'agit d'un acte citoyen pour exiger l'application de règles qui respectent la légalité", a déclaré Amadou Bah Oury, vice-président de l'Union des forces démocratiques de Guinée (UFDG), devant des centaines de militants rassemblés au siège du parti à Conakry où l'UFDG est majoritaire.
Il a estimé que les quelque 200 jeunes arrêtés lors des violences des 11 et 12 septembre l'avaient été de manière arbitraire. "S'ils ne sont pas libérés d'ici dimanche, nous organiserons une journée ville morte à Conakry", a dit M. Bah Oury.
Cette journée aura également pour objectif d'exiger que la nouvelle date qui sera fixée pour le second tour de la présidentielle - qui devait se tenir dimanche et a été reporté par la Commission électorale nationale indépendante (Céni) - soit cette fois-ci réellement respectée.
Cet appel coïncide avec l'arrivée samedi à Conakry d'une délégation du Groupe international de contact (GIC) sur la Guinée conduite par le représentant de l'ONU en Afrique de l'ouest, Said Djinnit.
Problèmes logistiques et techniques
Cette délégation doit rencontrer la Céni, les deux candidats en lice, l'ensemble des institutions du régime de transition dont son président, le général Sékouba Konaté, afin de tenter de fixer avec eux un nouveau calendrier pour le second tour.
Ce scrutin doit opposer Cellou Dalein Diallo à Alpha Condé qui avaient respectivement obtenu 43,69% et 18,25% des voix au premier tour du 27 juin.
La Céni a mis en avant des problèmes d'ordre logistique et technique pour justifier le report du second tour.
Par la voix de Sydia Touré, le camp de M. Diallo a de nouveau exigé samedi la tenue du second tour en septembre.
"Nous sommes en mesure de gagner ces élections, nous préférons qu'elles soient tenues avant la fin du mois", a déclaré lors d'un point de presse à Abidjan M. Touré, qui s'était rallié à Cellou Dalein Diallo après être arrivé troisième au premier tour.
Source AFP via Jeune Afrique
Il a estimé que les quelque 200 jeunes arrêtés lors des violences des 11 et 12 septembre l'avaient été de manière arbitraire. "S'ils ne sont pas libérés d'ici dimanche, nous organiserons une journée ville morte à Conakry", a dit M. Bah Oury.
Cette journée aura également pour objectif d'exiger que la nouvelle date qui sera fixée pour le second tour de la présidentielle - qui devait se tenir dimanche et a été reporté par la Commission électorale nationale indépendante (Céni) - soit cette fois-ci réellement respectée.
Cet appel coïncide avec l'arrivée samedi à Conakry d'une délégation du Groupe international de contact (GIC) sur la Guinée conduite par le représentant de l'ONU en Afrique de l'ouest, Said Djinnit.
Problèmes logistiques et techniques
Cette délégation doit rencontrer la Céni, les deux candidats en lice, l'ensemble des institutions du régime de transition dont son président, le général Sékouba Konaté, afin de tenter de fixer avec eux un nouveau calendrier pour le second tour.
Ce scrutin doit opposer Cellou Dalein Diallo à Alpha Condé qui avaient respectivement obtenu 43,69% et 18,25% des voix au premier tour du 27 juin.
La Céni a mis en avant des problèmes d'ordre logistique et technique pour justifier le report du second tour.
Par la voix de Sydia Touré, le camp de M. Diallo a de nouveau exigé samedi la tenue du second tour en septembre.
"Nous sommes en mesure de gagner ces élections, nous préférons qu'elles soient tenues avant la fin du mois", a déclaré lors d'un point de presse à Abidjan M. Touré, qui s'était rallié à Cellou Dalein Diallo après être arrivé troisième au premier tour.
Source AFP via Jeune Afrique