Les esprits qui se sont tournés vers le Don King de l’arène, espérant qu’il concocte des affiches alléchantes suite à l’arrestation de Luc Nicolaï, très connu pour ses cachets faramineux, peuvent déchanter. En effet, Gaston Mbengue est loin d’être prêt de débourser des sommes faramineuses pour ficeler un choc entre des ténors de l’arène. Il dit à qui veut l’entendre qu’il ne fera plus ce qui est au-delà de ses limites. « J’ai l’intention de concocter des affiches alléchantes cette saison, au grand bonheur des amateurs, mais dans la mesure du raisonnable. Je ne ferai plus l’impossible », avertit-il d’emblée. A l’en croire, il fait partie des promoteurs qui ont pris l’initiative de plafonner les cachets des lutteurs à 75 millions et, pour rien au monde, il n’enfreindra à cette règle fixée. Mieux, il fait savoir qu’il est en train de démarcher le combat entre Balla Gaye2 et Emeu Sene. Mais il n’a jamais payé un cachet de 100 millions à Balla Gaye2 pour monter ce duel très attendu par les amateurs de la lutte. Des propos que Double Less, père de Balla Gaye2, a appuyés. Celui-ci, dans notre entretien téléphonique, a assuré qu’il n’a jamais craché sur 100 millions.
« Je suis en train de démarcher le combat Balla Gaye2-Emeu Sène. J’avais entrepris les démarches aussitôt à la fin de la saison. J’en avais discuté avec Double Less, mais je ne lui avais pas proposé 100 millions. Quelque temps plus tard, l’association des promoteurs a vu le jour et on a décidé de ne plus dépasser la barre des 75 millions », déclare le promoteur qui ne cache pas cependant son intérêt pour ce choc. Selon lui, le temps des folies dans l’arène est révolu. « Je ne marche plus sur ce jeu-là. Je ne vais plus tenter de faire ce qui est au-delà de mes compétences. Personne ne peut plus m’encourager à faire ce que je ne désire pas. J’ai déjà perdu beaucoup d’argent à cause de cette folie ». Selon Gaston Mbengue, les promoteurs de lutte sont très endettés présentement. Ils doivent beaucoup d’argent aux banques. Ce, à cause des gros cachets payés aux lutteurs. Dans le même sillage, il soutient qu’il y a des personnes méchantes, très hypocrites qui les (les promoteurs) vantent pour leur faire faire des folies. Sur ces entrefaites, il déclare : « Il y a des personnes qui ne vivent que de cela. Elles divisent les gens pour en tirer profit après ». Plaidant toujours pour lui et ses pairs, il clame que les promoteurs sont très exposés. Ils sont taxés de vendeur de drogue ou de blanchisseur d’argent. Et, il donne en exemple le cas de Luc Nicolaï, poursuivi pour association de malfaiteurs, de tentative d'extorsion de fonds, de faux et usages de faux en écritures authentiques, de détention de cocaïne, d'entrave à la bonne marche d'un service administration. Sur ce, il dira : « Jusqu’à présent, je doute que Luc Nicolaï a fait ce qu’on lui reproche. Mais, nous avons confiance en notre justice et la vérité sera connue ».
Aliou DIOUF
Le Pays au Quotidien
« Je suis en train de démarcher le combat Balla Gaye2-Emeu Sène. J’avais entrepris les démarches aussitôt à la fin de la saison. J’en avais discuté avec Double Less, mais je ne lui avais pas proposé 100 millions. Quelque temps plus tard, l’association des promoteurs a vu le jour et on a décidé de ne plus dépasser la barre des 75 millions », déclare le promoteur qui ne cache pas cependant son intérêt pour ce choc. Selon lui, le temps des folies dans l’arène est révolu. « Je ne marche plus sur ce jeu-là. Je ne vais plus tenter de faire ce qui est au-delà de mes compétences. Personne ne peut plus m’encourager à faire ce que je ne désire pas. J’ai déjà perdu beaucoup d’argent à cause de cette folie ». Selon Gaston Mbengue, les promoteurs de lutte sont très endettés présentement. Ils doivent beaucoup d’argent aux banques. Ce, à cause des gros cachets payés aux lutteurs. Dans le même sillage, il soutient qu’il y a des personnes méchantes, très hypocrites qui les (les promoteurs) vantent pour leur faire faire des folies. Sur ces entrefaites, il déclare : « Il y a des personnes qui ne vivent que de cela. Elles divisent les gens pour en tirer profit après ». Plaidant toujours pour lui et ses pairs, il clame que les promoteurs sont très exposés. Ils sont taxés de vendeur de drogue ou de blanchisseur d’argent. Et, il donne en exemple le cas de Luc Nicolaï, poursuivi pour association de malfaiteurs, de tentative d'extorsion de fonds, de faux et usages de faux en écritures authentiques, de détention de cocaïne, d'entrave à la bonne marche d'un service administration. Sur ce, il dira : « Jusqu’à présent, je doute que Luc Nicolaï a fait ce qu’on lui reproche. Mais, nous avons confiance en notre justice et la vérité sera connue ».
Aliou DIOUF
Le Pays au Quotidien