A la station Shell Pasteur situé à côté de l’hôpital Aristide le Dantec, le gérant Moustapha Sané reconnaît qu’il y a eu une ‘’petite pénurie’’ il y a deux jours.
‘’Mais depuis hier, indique-t-il, les livreurs de gaz butane passent pour approvisionner nos stocks.’’
Selon lui, la situation est revenue à la normale. ’’Nos stocks sont pleins maintenant. Nous avons reçu hier les gaz de six kilogrammes et aujourd’hui ceux de 12 kg, comme vous les voyez là-bas’’, déclare-t-il en montrant le stock à l’aide de son doigt. Le dépôt de la station est rempli en effet de bouteilles de trois, six et 12 kg prêtes à l’emploi.
Abou Diallo, boutiquier établi dans le centre ville de Dakar, n’a pas lui eu la même chance. Cela fait en effet trois jours qu’il n’a plus de gaz-butane dans sa boutique. Cependant, il dit ne pas être en mesure de dire si cette situation est liée à une pénurie ou pas.
Tout au plus consent-il à déclarer que le livreur de gaz avait l’habitude de venir tous les deux jours.
Même son de cloche chez Ameth Aidara, un boutiquier mauritanien qui dit ne plus avoir de gaz dans sa boutique depuis quelques jours. ’’Je ne sais pas si c’est réellement dû à la pénurie de gaz dont j’entends parler ces jours-ci’’, précise-t-il toutefois.
‘’Ces derniers temps, je suis resté sans gaz butane durant une semaine. Mais depuis hier [NDRL : mercredi], le livreur est passé pour déposer des bouteilles de 6 kg et ce matin il est revenu pour laisser celles de 12 kg’’, déclare Alioune Fall, gérant d’une boutique.
Trouvée en train de ranger son matériel, Awa Thiam, vendeuse de thé, réagit avec un air de surprise à l’évocation d’une pénurie de gaz.
‘’Pénurie de gaz ? Cela m’étonne. Moi, j’ai rechargé ma bouteille vendredi dernier pour 3.700 francs Cfa et je n’ai jamais été au courant de rupture de stock ou de pénurie. C’est vous qui m’informez’’, déclare-t-elle, souriante.
Le restaurant ‘’Thiama’’ sis au centre ville n’a pas encore été touché par le problème, si l’on en croit Penda Diallo, l’une des serveuses trouvées sur les lieux.
Ici, dit-elle, les bouteilles de gaz sont rechargées tous les lundis de façon à parer toute éventualité. ‘’Nous avons juste entendu parler de pénurie de gaz butane, mais nous ne sommes pas concernés à notre niveau’’, déclare-t-elle.
SOURCE:APS
‘’Mais depuis hier, indique-t-il, les livreurs de gaz butane passent pour approvisionner nos stocks.’’
Selon lui, la situation est revenue à la normale. ’’Nos stocks sont pleins maintenant. Nous avons reçu hier les gaz de six kilogrammes et aujourd’hui ceux de 12 kg, comme vous les voyez là-bas’’, déclare-t-il en montrant le stock à l’aide de son doigt. Le dépôt de la station est rempli en effet de bouteilles de trois, six et 12 kg prêtes à l’emploi.
Abou Diallo, boutiquier établi dans le centre ville de Dakar, n’a pas lui eu la même chance. Cela fait en effet trois jours qu’il n’a plus de gaz-butane dans sa boutique. Cependant, il dit ne pas être en mesure de dire si cette situation est liée à une pénurie ou pas.
Tout au plus consent-il à déclarer que le livreur de gaz avait l’habitude de venir tous les deux jours.
Même son de cloche chez Ameth Aidara, un boutiquier mauritanien qui dit ne plus avoir de gaz dans sa boutique depuis quelques jours. ’’Je ne sais pas si c’est réellement dû à la pénurie de gaz dont j’entends parler ces jours-ci’’, précise-t-il toutefois.
‘’Ces derniers temps, je suis resté sans gaz butane durant une semaine. Mais depuis hier [NDRL : mercredi], le livreur est passé pour déposer des bouteilles de 6 kg et ce matin il est revenu pour laisser celles de 12 kg’’, déclare Alioune Fall, gérant d’une boutique.
Trouvée en train de ranger son matériel, Awa Thiam, vendeuse de thé, réagit avec un air de surprise à l’évocation d’une pénurie de gaz.
‘’Pénurie de gaz ? Cela m’étonne. Moi, j’ai rechargé ma bouteille vendredi dernier pour 3.700 francs Cfa et je n’ai jamais été au courant de rupture de stock ou de pénurie. C’est vous qui m’informez’’, déclare-t-elle, souriante.
Le restaurant ‘’Thiama’’ sis au centre ville n’a pas encore été touché par le problème, si l’on en croit Penda Diallo, l’une des serveuses trouvées sur les lieux.
Ici, dit-elle, les bouteilles de gaz sont rechargées tous les lundis de façon à parer toute éventualité. ‘’Nous avons juste entendu parler de pénurie de gaz butane, mais nous ne sommes pas concernés à notre niveau’’, déclare-t-elle.
SOURCE:APS