La dépouille du parlementaire a été acheminée à Ziguinchor lundi soir vers 20 heures à bord d’un avion militaire. A l’accueil, il y avait les parents, les autorités politiques, membres du gouvernement, élus locaux, autorités administratives, militants, etc.
Initialement annoncé aux funérailles du député libéral, le chef de l’Etat se fera représenter par le Premier ministre, Souleymane Ndéné Ndiaye accompagné d’une importante délégation, a appris l’APS de source informée.
Le corps du défunt est depuis lundi soir exposé à la maison mortuaire. L’exposition va se poursuivre à la Cathédrale Saint-Antoine de Padoue où se déroulera la messe suivie de l’enterrement dans l’après-midi au cimetière de Tilène.
Le député libéral Georges Tendeng, décédé lundi à Dakar, à l’âge de 67 ans, faisait, avant tout, partie du monde de l’éducation pour lequel il a consacré une bonne partie de sa vie, avant de s’engager en politique. Né en 1943 à Bandial-Enéguèn dans la région de Ziguinchor, Georges Tendeng a notamment mené une carrière d’enseignant entre 1961 et 1975.
Tour à tour inspecteur d’académie des régions de Fatick et de Kaolack (centre) entre 1961 et 1975, il était également un spécialiste reconnu de l’alphabétisation. En 2001, il a été nommé ministère de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle.
Auparavant, il a occupé le poste de directeur de cabinet du ministre des Forces armées dans le premier gouvernement de l’alternance politique intervenue en 2000.
Georges Tendeng a été élu deux fois député. D’abord dans la dixième législature (2001), mandat qu’il écourtera pour prendre les rênes du ministère de l’Enseignement technique, et dans la onzième en 2007.
jusqu’à sa mort, il était président de la Commission santé population, affaires sociales et solidarité nationale au sein de l’Assemblée nationale. Le défunt était en même temps président de la section et de la fédération du Parti démocratique sénégalais (PDS, au pouvoir) dans le département de Ziguinchor.
Très actif dans le mouvement associatif, notamment celui d’obédience catholique, Georges Tendeng était un polyglotte. Il s’exprimait dans plusieurs langues nationales parlées surtout en Casamance et parlait couramment plusieurs langues étrangères.
OID/AD
Initialement annoncé aux funérailles du député libéral, le chef de l’Etat se fera représenter par le Premier ministre, Souleymane Ndéné Ndiaye accompagné d’une importante délégation, a appris l’APS de source informée.
Le corps du défunt est depuis lundi soir exposé à la maison mortuaire. L’exposition va se poursuivre à la Cathédrale Saint-Antoine de Padoue où se déroulera la messe suivie de l’enterrement dans l’après-midi au cimetière de Tilène.
Le député libéral Georges Tendeng, décédé lundi à Dakar, à l’âge de 67 ans, faisait, avant tout, partie du monde de l’éducation pour lequel il a consacré une bonne partie de sa vie, avant de s’engager en politique. Né en 1943 à Bandial-Enéguèn dans la région de Ziguinchor, Georges Tendeng a notamment mené une carrière d’enseignant entre 1961 et 1975.
Tour à tour inspecteur d’académie des régions de Fatick et de Kaolack (centre) entre 1961 et 1975, il était également un spécialiste reconnu de l’alphabétisation. En 2001, il a été nommé ministère de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle.
Auparavant, il a occupé le poste de directeur de cabinet du ministre des Forces armées dans le premier gouvernement de l’alternance politique intervenue en 2000.
Georges Tendeng a été élu deux fois député. D’abord dans la dixième législature (2001), mandat qu’il écourtera pour prendre les rênes du ministère de l’Enseignement technique, et dans la onzième en 2007.
jusqu’à sa mort, il était président de la Commission santé population, affaires sociales et solidarité nationale au sein de l’Assemblée nationale. Le défunt était en même temps président de la section et de la fédération du Parti démocratique sénégalais (PDS, au pouvoir) dans le département de Ziguinchor.
Très actif dans le mouvement associatif, notamment celui d’obédience catholique, Georges Tendeng était un polyglotte. Il s’exprimait dans plusieurs langues nationales parlées surtout en Casamance et parlait couramment plusieurs langues étrangères.
OID/AD