Contrairement à l’opinion de la société civile africaine et européenne sur l’initiative, le Frontex est à saluer, selon le ministre d’Etat, Me Madické Niang, ministre des Affaires étrangères du Sénégal. ‘L’Agence pour le contrôle des frontières extérieures de l’Union européenne (Frontex) est une initiative heureuse’, déclare Madické Niang lors d’une conférence de presse sanctionnant le sommet interministériel euro-africain sur migration et développement tenu hier à Dakar.
Le ministre d’Etat qui procédait auparavant à l’ouverture de cette rencontre de haut niveau entre ministres européens et africains d’évoquer, cependant, la nécessité du respect des droits des migrants et des membres de leurs familles comme principes de base partagés pouvant servir à établir les fondements solides d’une gestion commune des migrations. ‘Du respect effectif, par tous les Etats, des normes internationales relatives aux droits des migrants et à la protection des femmes, enfants et filles issus de la migration, contre toutes formes de discrimination, d’exploitation, d’abus et de traites, dépendra le succès de notre entreprise’, croit savoir M. Niang. Selon qui, ‘il y va de la préservation de la dignité due à tout homme et en tout lieu, à laquelle chacun de nos Etats doit œuvrer’.
A l’en croire, tous les pays partenaires de l’Ue sont contre l’immigration clandestine et entendent combattre le phénomène. Soulignant l’accord signé entre la France et le Sénégal, M. Niang rassure que l’obtention du visa trouve un sort heureux au même titre que la liste des métiers dressée par la France qui a été révisée en tenant compte des besoins du Sénégal. Selon la secrétaire d’Etat française chargée de la Jeunesse et de la Vie associative, Jeannette Bougrab, ‘2 millions de visas sont délivrés chaque année aux émigrés parmi lesquels on compte un grand nombre d’étudiants, soit 250 mille en 2008, 46 mille en 2009, 60 mille en 2010’.
walf.sn
Le ministre d’Etat qui procédait auparavant à l’ouverture de cette rencontre de haut niveau entre ministres européens et africains d’évoquer, cependant, la nécessité du respect des droits des migrants et des membres de leurs familles comme principes de base partagés pouvant servir à établir les fondements solides d’une gestion commune des migrations. ‘Du respect effectif, par tous les Etats, des normes internationales relatives aux droits des migrants et à la protection des femmes, enfants et filles issus de la migration, contre toutes formes de discrimination, d’exploitation, d’abus et de traites, dépendra le succès de notre entreprise’, croit savoir M. Niang. Selon qui, ‘il y va de la préservation de la dignité due à tout homme et en tout lieu, à laquelle chacun de nos Etats doit œuvrer’.
A l’en croire, tous les pays partenaires de l’Ue sont contre l’immigration clandestine et entendent combattre le phénomène. Soulignant l’accord signé entre la France et le Sénégal, M. Niang rassure que l’obtention du visa trouve un sort heureux au même titre que la liste des métiers dressée par la France qui a été révisée en tenant compte des besoins du Sénégal. Selon la secrétaire d’Etat française chargée de la Jeunesse et de la Vie associative, Jeannette Bougrab, ‘2 millions de visas sont délivrés chaque année aux émigrés parmi lesquels on compte un grand nombre d’étudiants, soit 250 mille en 2008, 46 mille en 2009, 60 mille en 2010’.
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