
Gouye Gui n’a pas encore compris cela. De son utilisation exécrable de la langue de Molière, à ses gestuels qui tranchent avec toutes les maximes dévolues à ce sport de chez nous, Gouye Gui devient peu à peu, un individu à part. C’est le premier à déborder sur le temps d’antenne quand il lui est recommandé de ne pas le faire. Il fait des incursions dans le discours de son adversaire alors que lui a eu tout le temps de parler sans être dérangé. Bref, un style à revoir pour coller à la réalité de l’arène qui se veut de plus en plus policée.