Depuis le début des années 2000, le prix du mètre carré de terrain dans Dakar a été multiplié par trois. S’ajoute à cela l’inflation des coûts de construction, notamment celui des matériaux, le plus souvent importés, mais aussi la pression des investisseurs.
Selon Mamadou Mbaye, président de la Fédération des agences et des courtiers immobiliers du Sénégal (Facis), « les étrangers représentent 30 % des acheteurs : des Ivoiriens, des Nigérians, mais aussi des Maliens, des Guinéens, qui subissent l’instabilité de leur pays et cherchent des endroits pour investir. Les Sénégalais de la diaspora représentent 10 % à 15 % des acheteurs ».
Enquête de « Le Monde/Afrique » sur un marché en plein boom, qui exclut de la propriété les classes populaires.
Selon Mamadou Mbaye, président de la Fédération des agences et des courtiers immobiliers du Sénégal (Facis), « les étrangers représentent 30 % des acheteurs : des Ivoiriens, des Nigérians, mais aussi des Maliens, des Guinéens, qui subissent l’instabilité de leur pays et cherchent des endroits pour investir. Les Sénégalais de la diaspora représentent 10 % à 15 % des acheteurs ».
Enquête de « Le Monde/Afrique » sur un marché en plein boom, qui exclut de la propriété les classes populaires.