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Gré à gré, gaspillage de deniers publics, gestion nébuleuse : Le M23 s’indigne, attaque Macky Sall et reprend la lutte

Que Macky Sall et son régime se le tiennent pour dit. Le M23 a repris du service. Après un an d’observation, le Mouvement des forces vives de la Nation constate pour le regretter que les pratiques dénoncées sous le régime Wade persistent.


Rédigé par leral.net le Samedi 11 Mai 2013 à 10:30 | | 8 commentaire(s)|

Gré à gré, gaspillage de deniers publics, gestion nébuleuse : Le M23 s’indigne, attaque Macky Sall et reprend la lutte
"Force est de constater avec amertume et indignation que les vieilles et mauvaise habitudes n’ont pas totalement disparues", a noté hier la coordination des jeunesses du M23, lors d’une conférence de presse au siège de la Raddho à Dakar. Les jeunes du M23 se disent outrés par certains actes posés par les tenants du régime. "Nous dénonçons, en même temps, les dérives rampantes dans la gestion de certains départements ministériels et directions nationales (marchés de gré à gré, recrutements nébuleux, gaspillages entre autres dérives", s’est emportée Aïda Niang, coordonnatrice des jeunes du M23. D’après nos confrères de L’Observateur, en termes de dérives et de nébuleuse, Cheikh Kanté et Pape Maël Diop semblent à leurs yeux, être les plus mauvais élèves. "Ce qui se passe au port et à l’aéroport en matière de gré à gré et de dérives est insoutenable. Certaines pratiques dans les ministères sont pires que du temps de Wade", ont clamé ces jeunes. Pratiques que l’on retrouve encore à l’Hémicycle où ses occupants sont devenus des distributeurs automatique de billets de banque. "Les députés distribuent de l’argent où ils sont conviés, je me demande d’où ils sortent tout cela", s'est interrogée Mme Niang.



1.Posté par le citoyen le 11/05/2013 12:12 | Alerter
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En élisant MAcky vous vous attendez à quoi?" Béy dou teup dome dia beutteu!!!!" c'est le fils de son pére WADE !!remobilisez-vous et attendons 2017 et pour une fois disons non aux politiciens guire yalla!!! c'est la seule facon d'éviter le partage de nos ressources par la corporation des bandits à travers des marchés de gré à gré; à travers des postes; à travers des avantages!!
cette corporation là a fini par nous prendre en otage! a fini par l'égaliser leurs pratiques illégitimes!il faut une force populaire consciente pour renverser cette tentance!!! les dignes fils du pays nous vous invitons à cela!!!

2.Posté par Bounkhatab le 11/05/2013 12:16 | Alerter
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C'EST SIMPLE , ALLEZ APPUYER LE PDS ET RAMENEZ LES AU POUVOIR.LA QUESTION QUE L'ON DOIT SE POSER EST LA SUIVANTE : SI MACKY FAIT DU WADE SANS WADE , EST QUE LES SENEGALAIS ONT CHANGE DE COMPORTEMENT ENTRE TEMPS ?

3.Posté par Goormak le 11/05/2013 12:16 | Alerter
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Vous avez bien fait de reagir comme les sentinelles de la democratie que vous etes; parceque force est de constater que macky sall n'est pas entrain d'operer les ruptures majeures legitimes que le peuple attend de lui. Sur fond de la crise sociale politique et economique pour laquelle il a été élu, et 1 an aprés son election, son bilan laisse a desirer en matiere de bonne gouvernance et de politique porteur d'espoir et de croissance!

4.Posté par xorom soukeur le 11/05/2013 13:25 (depuis mobile) | Alerter
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avec l''avenement de macky osons avouer qu''il ya rupture fondamentale d''avec ce que faisait wade.n''oublions guere que ce vieux gus nous a pompe l''air pendant 12 ans en monopolisant la parole ,les medias nous faisant croire qu''il va transformer reubeuss en manhattan.avec ses remaniements a la pelle avec ses sauts dhumeur intempestifs ses sorties lyriques et dyphtirambiques qui l''obligeaient a devoiler certains secrets d''etat ses phobies a vouloir tout le temps tripatouiller la constitution. Comment peut on de ce faite dire que macky fait du wade sans wade.il n''ya pas photo entre wade et macky.gens du m23 vous avez le droit de vous poser en sentinelle de la democratie mais de grace a partir de 2 exemples kante et mael 2 pommes de terre pourries vouloir jeter le sac de pomme de terre.et jeter le discredit sur macky et son gouvernement .

5.Posté par junior le 11/05/2013 16:04 | Alerter
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QUE DOUDOU WADE ET CIE SE TAISENT A JAMAIS
La sortie de l’ancien premier ministre, Souleymane Ndéné Ndiaye, contre ses frère libéraux a été accueillie comme un tôlé chez les copains à Doudou Wade.
En effet, après la lettre de vérité de Souleymane Ndéné Ndiaye, Doudou Wade et compagnie se sont constitué en bouclier en essayant de faire croire aux sénégalais qu’ils sont les représentants légitimes du Pds, dans le champ politique sénégalais.
Alors qu’en réalité, ni Doudou Wade ni ses copains n’ont la capacité de mobilisation autour de leur personne. Car, sur l’échiquier politique sénégalais, ils ne représentent absolument rien du tout car ne pesant même pas un gramme.
En réalité, ils veulent prendre le Pds en otage à leur tête le neveu de l’ancien président de la République, Doudou Wade qui essaye de placer ses copains dans des postes stratégiques du parti.
D’où l’idée de mise en place des fédérations à travers le pays, en voulant faire croire qu’ils sont représentatives et capables de conduire le navire Pds.
Doudou Wade, Omar Sarr, Modou Diagne Fada entre autres veulent se faire passer comme les dignes héritiers de l’œuvre de Me Abdoulaye Wade en tympanisant les sénégalais à travers la presse toute confondue.
Mais, qu’ils sachent que les journaux ne prouvent en rien la popularité d’un politique, au contraire essayent de faire passer un politique comme un leader.
Car pour être leader, il faut une base solide et dans cette base solide, il faut impérativement des militants déterminés et capables de défendre les intérêts d’un parti.
Cependant, tel n’est pas le cas chez ceux qui s’agitent dans les chaînes de télévisions, les radios, les sites web et dans les journaux pour convaincre les sénégalais.
Les vrais responsables politiques, qui ont une base politique solide sont dans l’ombre en train d’observer les incapables en attendant qu’ils finissent leurs minables minutions politiques dans des champs inutiles.
L’on ne détermine nullement un vrai politique à travers ses sorties médiatiques commandités, mais en évaluant sa base politique.
Tous ceux qui s’agitent aujourd’hui, se réclamant du Pds n’ont aucun poids politique dans le Sénégal d’aujourd’hui.
Aller dans leur fief, vous verrez que ce n’est qu’une coquille vide et sans intérêts.
C’est plus facile de danser devant les écrans de télés ou devant les micros des radios que de vivre les dures réalités du terrain politique.
Les sorties multiples des apprentis politiques à l’image de Doudou Wade, Omar Sarr ou encore Modou Diagne Fada s’expliquent tout simplement parce qu’ils aiment se regarder à la télévision, s’écouter sur les ondes des radios et se lire dans les journaux.
Bref, ils ne font que d’amuser la galerie en jouant à la comédie politique comme dans 100% Jamel Deblouze dans les salles parisiennes.
Le Parti démocratique sénégalais n’est ni la propriété de Doudou Wade encore moins d’Omar Sarr.
Le Pds appartient à ceux qui croient à sa vision et non à des marionnettes qui passent tout leur temps à parler au lieu de descendre à leur base pour travailler.
Ils ne sont pas les seuls à pouvoir diriger, il y a d’autres plus crédibles, plus populaires et plus pertinents qu’eux.
Ils doivent savoir raison garder et arrêter de narguer les sénégalais dans leur politique mensongère.
Car, les locales de 2014 doit être un tournant décisif pour eux. Ces échéances détermineront leur poids politique sur l’échiquier PDS et non en politique.
C’est facile de se croire d’être au-dessus de la mêlée alors qu’en réalité même un vendeur de « thiaf » du coin de la rue réfléchit mieux que soi.
Doudou Wade, Omar Sarr, Modou Diagne Fada et Cie doivent comprendre que la politique bananière ne passera plus au Sénégal.
Et que le Pds ne sera pas la propriété d’une bande de copain, mais de vrais militants.
Souleymane Ndéné Ndiaye à raison, il a dit tout haut ce que les autres pensent tout bas.
Comme on le dit, la vérité fait mal et c’est pourquoi certains ont jugé nécessaire de le répondre à travers des mensonges.
A suivre……



6.Posté par aminA le 11/05/2013 20:26 | Alerter
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VIVE LE M23 PATRIOTIQUE
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7.Posté par TRACINES le 11/05/2013 22:54 | Alerter
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Franchement ces petits cons nous emmerdent ils étaient où quand les gens se battaient devant l'assemblée c'est maintenant qu'ils investissent les médias pour nous pomper l'air. Ils ne comprennent rien à rien et tous des bandes d'opportunistes. Ceux qui se sont battus sont encore là bien vivants et ceux qui ont créer le mouvement touche pas à ma constitution 3 juin 2011 devenu M23 après le 23 juin sont bien là en ce moment personne ne vous connaissez dans les rangs et comme par enchantement ce bande de desperados récupérateurs nous pompent l'air sans rien comprendre aux les fondementaux de la bonne gouvernance arrêter en fin de compte tous des guignols qui cherchent à se positionner. Mettez les en situation vous verrez

8.Posté par kathior ka le 12/05/2013 10:33 | Alerter
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État de droit, gouvernance vertueuse, transparence, etc. à l’épreuve des faits.
« Une civilisation qui ruse avec ses principes est une civilisation moribonde. »

Un recteur qui ignorait royalement l'autonomie des structures et les lois du Sénégal, avec une gestion hors norme tant décriée par les syndicats et des citoyens de tous bords se retrouve nommé Ministre de l'Enseignement Supérieur de la Recherche, sans autre forme de procès. Les faits avérés qui lui sont reprochés sont d'une telle gravité qu'il ne doit certainement son "salut" (c'est temporaire, car un jour chacun rendra des comptes, ces anciens amis du PDS ne diront pas le contraire) que grâce la transhumance du PDS à l'APR à la 25ème heure. Les "amis" avant la patrie.

Sauvons nos universités publiques du naufrage.
(leral.net 9 oct. 2012 de Citoyen)

Malgré les moyens substantiels mis à la disposition de l’enseignement supérieur de notre pays, les résultats sont qualitativement et quantitativement loin des normes de l’UNESCO. Nos instituions d’enseignement supérieur ont surtout un problème de management ([b]mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.[/b]) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire ([b]avantages indus, intimidations, etc.[/b]), des autorités étatiques qui, jusqu’à présent, feignent de ne rien savoir (n’ont-ils pas les moyens de savoir ce qui se passe ?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques !) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.

Face à la démission de l’État, nos universités croulent sous le poids de dettes dues aux créanciers (banques, hôpitaux, Sonatel, Senelec, SDE, fournisseurs divers) et chaque corporation s’évertue à demander toujours plus pour « améliorer ses conditions d’existence » et parfois au détriment des intérêts de la communauté. Ainsi donc, la crise est donc une conséquence logique de l’inaction de l’État.
En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c’est le début du CHAOS.
A l’État de faire l’état de la gestion de ceux qu’il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d’étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti.

L’État ne peut continuer à protéger et promouvoir ceux qui mettent à genoux nos institutions d’enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats. Je pense que les responsabilités sont partagées.
Des assises de l’Éducation avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je proposent des assises des anciens (Recteurs, Professeurs ou hauts cadres à la retraites) du système pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d’être juge et parti.
Il n’est jamais trop trad pour bien faire un devoir citoyen.

----------------------kathior, 24 novembre 2012 00:18 de nettali ----------------
DÉCLARATION SAES

La section SAES-UGB s’est réunie en AG ce jeudi 11 octobre 2012 en vue d’évaluer la situation qui prévaut en interne au sein de notre institution universitaire.
Devant le constat :
d’une situation générale de mal gouvernance,
de non fonctionnement des structures et directions démultipliées,
de non respect des textes universitaires,
de mauvaise gestion des deniers publics alloués à l’UGB,
de la dégradation des conditions de travail,
de recrutements massifs et clientélistes de personnels non prévus dans le budget en cours,
de retard dans le paiement des salaires et de retenues sur salaires non versées.
L’Assemblée Générale de Saint-Louis condamne avec la dernière énergie le mode actuel de gestion du Recteur Mary Teuw Niane....
...
L’Assemblée générale, note avec indignation, désolation et amertume que le Recteur de l’UGB n’a respecté aucun des engagements qu’il avait pris lors de ses dernières rencontres avec le bureau de la section SAES.
Ainsi, l’AG exige :
le respect des textes en vigueur sur le recrutement de personnels enseignants non titulaires,
le paiement sans délai de toutes les sommes dues :
Heures Complémentaires du second semestre,
perdiem de voyage d’études aux ayant droits restants,….
le versement effectif des prélèvements opérés sur les salaires des enseignants au profit de certaines institutions financières,
le paiement effectif des sommes dues aux institutions sanitaires,
L’AG regrette la lecture partielle ou contextuelle que le Recteur fait des textes qui nous régissent. Elle insiste sur l’urgence de la situation désastreuse dans laquelle se trouve l’UGB et interpelle les pouvoirs publics sur la nécessité d’auditer les fonds alloués.
Nous restons mobilisés pour la sauvegarde et la défense de notre institution.
Vive l’Université sénégalaise, vive le SAES.

Fait à Saint-Louis le 12 octobre 2012.
L’Assemblée Générale
-------------
SYNTUS (Syndicat des travailleurs de l’UGB de Saint louis).
Saint Louis, 22/06/2012.

APPEL A LA COMMUNAUTÉ CONTRE LES DÉRIVES D’UNE GESTION SOLITAIRE.

Depuis quelques années la gestion solitaire, le subjectivisme, le népotisme et les règlements de compte sont monnaie courante a l’UGB. Dans la vie des établissements ( UFR LSH, CCOS…) comme dans la gestion des ressources humaines (recrutement, traitement salarial, nominations) les exemples ne se comptent plus. Retraits de prérogatives, mises en quarantaine et tentatives d’humiliation sont le lot de ceux et celles qui qui refusent de marcher au pas et qui ont osé faire face.

LE SYNTUS FERA FACE COMME PAR LE PASSE.

Nous avons toujours préfère le dialogue social constructif a la confrontation. C’est pourquoi depuis la tentative avortée de licenciement dont certains de nos camarades ont été victimes en 2010 et toutes les tentatives vaines de déstabiliser notre syndicat, nous avons voulu rester sereins et positifs.
Seulement la récidive dans l’irrespect et le manque de considération à l’ endroit des travailleurs y compris certains de ces collaborateurs attitres, du Recteur, mettent gravement en péril la gestion démocratique et la justice sociale.
C’est pourquoi sentinelle au service exclusif de l’institution, le SYNTUS est résolu a faire face pour réinstaller la confiance et la joie de travailler ensemble toutes composantes confondues au développement concerté de l’UGB.

VIVE LES SYNTUS, VIVE L’UGB.
L’Assemblée générale
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