«Aujourd’hui, l’argument phare qui a été développé par ces boulangers, c’est de dire que le prix de l’augmentation de la farine n’a pas été prise en considération dans le nouveau prix du pain. Ce qui est, absolument, faux puisque dans toutes les régions du Sénégal le prix a augmenté suite à la variation du prix de la farine. Donc, à Dakar aussi, il y a eu une augmentation», a expliqué Momar Ndao qui estime que «les boulangers se moquent des Sénégalais». «Ils n’ont aucun respect pour eux pour plusieurs raisons», a-t-il ajouté sur le plateau de Walf/Tv.
Le consumériste a même livré le secret de leurs discussions avec les boulangers. «Aussi nous avons dit aux boulangers que nous sommes d’accord sur la répercussion au gramme qui va passer à 0,83 francs mais qu’au lieu de donner un pain de 210g, on va donner un pain de 180 grammes ; ce qui va faire 160 francs CFA», conte Momar Ndao qui poursuit : «En donnant le nouveau prix qui est appliqué depuis lors, à 150 f pour 180 grammes, l’augmentation du prix de la farine est bien prise en compte contrairement à ceux que disent les boulangers».
C’est pourquoi, il se convainc que les boulangers ne jouent pas franc jeu. «Ce qu’ils font aujourd’hui, c’est de la mauvaise foi», a tranché Momar Ndao selon qui ne prend même pas au sérieux leurs propos. «Ils ne parlent même pas de grève illimitée mais d’arrêt de travail», constate-t-il en indiquant : «Ce que nous leur disons, c’est qu’ils peuvent manger leur propre pain. On va leur laisser leur pain. S’ils arrivent à le faire, ils n’ont qu’à continuer à garder le pain».
Charles Thialice SENGHOR
pressafrik.com
Le consumériste a même livré le secret de leurs discussions avec les boulangers. «Aussi nous avons dit aux boulangers que nous sommes d’accord sur la répercussion au gramme qui va passer à 0,83 francs mais qu’au lieu de donner un pain de 210g, on va donner un pain de 180 grammes ; ce qui va faire 160 francs CFA», conte Momar Ndao qui poursuit : «En donnant le nouveau prix qui est appliqué depuis lors, à 150 f pour 180 grammes, l’augmentation du prix de la farine est bien prise en compte contrairement à ceux que disent les boulangers».
C’est pourquoi, il se convainc que les boulangers ne jouent pas franc jeu. «Ce qu’ils font aujourd’hui, c’est de la mauvaise foi», a tranché Momar Ndao selon qui ne prend même pas au sérieux leurs propos. «Ils ne parlent même pas de grève illimitée mais d’arrêt de travail», constate-t-il en indiquant : «Ce que nous leur disons, c’est qu’ils peuvent manger leur propre pain. On va leur laisser leur pain. S’ils arrivent à le faire, ils n’ont qu’à continuer à garder le pain».
Charles Thialice SENGHOR
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