Les frappes russes qui ont touché Kiev ce jeudi ont largement marqué l'actualité du conflit ce vendredi, tant par le bilan humain que pour le symbole de ces bombardements.
La situation à Marioupol continue d'inquiéter. En parallèle, dans la capitale, une journaliste est morte dans les frappes russes de jeudi soir, alors que le secrétaire général de l'ONU était présent à Kiev.
600 militaires blessés à Azovstal
Une poignée d'Ukrainiens qui tiennent bon. Alors que la majorité de Marioupol est sous contrôle russe, les dernières forces ukrainiennes se trouvent dans le site industriel d'Azovstal. Selon Kateryna Soukhomlynova, conseillère municipale de Marioupol et réfugiée à Berlin, il reste "600 militaires blessés dans les sous-sols". Elle regrette que la Russie ne leur donne pas accès à une aide médicale. "Il n'y a plus de médicament, même pas d'eau et de nourriture", déclare-t-elle sur BFMTV ce vendredi soir.
La situation à Marioupol continue d'inquiéter. En parallèle, dans la capitale, une journaliste est morte dans les frappes russes de jeudi soir, alors que le secrétaire général de l'ONU était présent à Kiev.
600 militaires blessés à Azovstal
Une poignée d'Ukrainiens qui tiennent bon. Alors que la majorité de Marioupol est sous contrôle russe, les dernières forces ukrainiennes se trouvent dans le site industriel d'Azovstal. Selon Kateryna Soukhomlynova, conseillère municipale de Marioupol et réfugiée à Berlin, il reste "600 militaires blessés dans les sous-sols". Elle regrette que la Russie ne leur donne pas accès à une aide médicale. "Il n'y a plus de médicament, même pas d'eau et de nourriture", déclare-t-elle sur BFMTV ce vendredi soir.
Source : https://www.exclusif.net/Guerre-en-Ukraine-Un-Jour...