Les présidents Laurent Gbagbo (Côte d’Ivoire), Joao Bernardo Vieira (Guinée-Bissau), Ellen Johnson Sirleaf (Liberia) et Ernest Bai Koroma (Sierra Leone) étaient présents, ainsi que le président de la Commission de l’Union Africaine (UA), Jean Ping, et son homologue de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cedeao), Ibn Chambas.
Mais, selon l’Afp, « depuis Paris, le président sénégalais Abdoulaye Wade a appelé à soutenir la junte ». Et pour cause, a dit le chef de l’Etat sénégalais, « je pense que ce groupe mérite d’être soutenu". Et d’ajouter : « J’appelle tous les pays, notamment la France, à ne pas jeter la pierre à ce groupe mais à les prendre au mot". Il faisait ainsi allusion « aux élections promises par les putschistes ».
Contrairement à Me Wade, le président sud-africain Kgalema Motlanthe a condamné le putsch et appelé la junte à céder "immédiatement" le pouvoir aux civils en vue d’élections démocratiques. Tout comme, précise la même source, « la communauté internationale a jusqu’ici condamné le coup d’Etat.
source ferloo
Mais, selon l’Afp, « depuis Paris, le président sénégalais Abdoulaye Wade a appelé à soutenir la junte ». Et pour cause, a dit le chef de l’Etat sénégalais, « je pense que ce groupe mérite d’être soutenu". Et d’ajouter : « J’appelle tous les pays, notamment la France, à ne pas jeter la pierre à ce groupe mais à les prendre au mot". Il faisait ainsi allusion « aux élections promises par les putschistes ».
Contrairement à Me Wade, le président sud-africain Kgalema Motlanthe a condamné le putsch et appelé la junte à céder "immédiatement" le pouvoir aux civils en vue d’élections démocratiques. Tout comme, précise la même source, « la communauté internationale a jusqu’ici condamné le coup d’Etat.
source ferloo