Tout en déplorant « les dysfonctionnements du système libéral mondial dont les conséquences néfastes ont fini de plomber les politiques en cours dans les pays du tiers-monde », les compagnons de Mademba Sock ont vertement fustigé « la mal-gouvernance » mise en avant à l’échelle nationale dans ce contexte de crise. Une mal-gouvernance « qui n’a pas épargné les secteurs-clés de l’économie, provoquant sans cesse des pénuries de gaz, de riz et d’eau, des délestages dans le secteur de l’électricité »…
Conséquence de cette situation difficile : « les émeutes se multiplient à Dakar et dans des villes de l’intérieur ». Pour l’Unsas, il s’agit là « de signaux très forts envoyés en direction du gouvernement qui ne se soucie guère de prendre en charge les besoins prioritaires des populations ».
Abordant par ailleurs le bilan des négociations tripartites, le secrétariat exécutif de l’Unsas a constaté avec amertume « l’impossibilité d’aboutir à la signature d’un protocole d’accord. » Pour cause, ont affirmé les responsables de la centrale syndicale, « le patronat exige prioritairement de l’Etat la résorption de la dette intérieure et la réduction du taux de la CFCE.
Or, quelle que soit la légitimité de ces exigences, la signature d’un protocole d’accord est nécessaire pour clôturer les négociations collectives tripartites de l’année 2007/2008 ».
Fort de ces enseignements, le secrétariat exécutif de l’Unsas a mis en exergue, à l’issue de sa réunion d’instance, la nécessité pour les Centrales syndicales d’organiser « la riposte face à ces multiples agressions qui troublent la quiétude des travailleurs ».
Conséquence de cette situation difficile : « les émeutes se multiplient à Dakar et dans des villes de l’intérieur ». Pour l’Unsas, il s’agit là « de signaux très forts envoyés en direction du gouvernement qui ne se soucie guère de prendre en charge les besoins prioritaires des populations ».
Abordant par ailleurs le bilan des négociations tripartites, le secrétariat exécutif de l’Unsas a constaté avec amertume « l’impossibilité d’aboutir à la signature d’un protocole d’accord. » Pour cause, ont affirmé les responsables de la centrale syndicale, « le patronat exige prioritairement de l’Etat la résorption de la dette intérieure et la réduction du taux de la CFCE.
Or, quelle que soit la légitimité de ces exigences, la signature d’un protocole d’accord est nécessaire pour clôturer les négociations collectives tripartites de l’année 2007/2008 ».
Fort de ces enseignements, le secrétariat exécutif de l’Unsas a mis en exergue, à l’issue de sa réunion d’instance, la nécessité pour les Centrales syndicales d’organiser « la riposte face à ces multiples agressions qui troublent la quiétude des travailleurs ».