leral.net | S'informer en temps réel

Hébergé par son meilleur ami, Abdou Daouda Sall abuse de sa fille de 11 ans et de la femme de ménage

Entre Abdou Daouda Sall et Mamadou Demba Gackou, c’est le prolongement de l’amitié qu’entretenait leurs pères. Installé au Congo, Mamadou Demba Gackou avait hébergé Abdou Daouda Sall à son domicile. Ingrat, ce dernier profitait de cette hospitalité pour violer la fille de son ami et la domestique.


Rédigé par leral.net le Mercredi 8 Mai 2024 à 11:16 | | 0 commentaire(s)|

Abdou Daouda Sall est poursuivi pour viol et détournement de mineure, trahissant ainsi la confiance de son meilleur ami, qui lui a offert l’hospitalité. « Le mis en cause est mon ami depuis notre enfance. Mon père est le meilleur ami de son père et nous avons suivi cette logique en conservant ces liens. En 2018, lorsque j’ai construit ma maison aux Parcelles Assainies, je l’ai hébergé. Installé au Congo, je séjourne souvent au Sénégal. Il a trahi toute ma confiance, en abusant sexuellement de ma fille âgée de 11 ans, qui est en plus, une sourde-muette », a raconté le malheureux père aux limiers.

Le pot aux roses a été découvert le samedi 27 avril. Alors qu’il se reposait dans sa chambre, son épouse est venue lui annoncer qu’elle avait surpris le mis en cause avec sa fille dans la cuisine et qu’il avait réussi à lui enlever son slip

Interrogée par son père, la petite a expliqué par le langage des signes que le mis en cause avait couché avec elle à plusieurs reprises. En bon père de famille, le père de la victime interroge sa fille aînée. Celle-ci lui avoue qu’à plusieurs reprises, le mis en cause a voulu coucher avec elle sans succès. Croyant que sa petite fille a été la seule victime du mis en cause, la domestique vient également confesser des viols répétés dont elle a été victime du prédateur sexuel. Expliquant que celui –ci a commencé par lui offrir des cadeaux qu’elle refusait de prendre.

C’est alors que la maison était vide de ses occupants, qu’il a réussi à abuser de la domestique et ne s’est plus arrêté, en la menaçant de la tuer si elle s’en ouvrait à une personne.

Face aux limiers, le mis en cause reconnaît en partie les faits qui lui sont reprochés. « J’avoue que j’ai abusé de la petite, mais je ne l’ai jamais pénétré. Cependant, je l’ai doigtée à plusieurs reprises, en l’embrassant sur la bouche et je procédais de la sorte avec la femme de ménage », a avoué le mis en cause. Bien entendu, il a été arrêté et déféré au parquet, en attendant d’être fixé sur son sort.





Le Témoin