
Les femmes n’occupent pas les postes qui leur revenaient d’habitude. Le 3e, 5e ainsi que le 7e poste de vice-président, affirment les deux dames, ont toujours été réservés aux femmes. Mais avec le nouveau bureau, c’est comme si Macky Sall est en train de revenir sur la parité, selon L'As. Si Hélène Tine dit que les députés de la douzième législature ne doivent pas faire moins que ce qui a été entamé, Aida Mbodj, elle, martèle que le président de la République qu’elle interpelle directement ne doit pas sacrifier les femmes, la parité pour des calculs politiques ou logiques de coalition.