Il a été le premier à révéler au grand jour « le plan A » du président de la République qui consisterait à faire de Karim Wade, son fils, le maire de Dakar pour ensuite lui frayer le chemin menant au Palais. La suite des événements semblant lui donner raison, Ibrahima Sène revient éventrer le plan de « l’autre fils », Idrissa Seck. A l’en croire, s’il y a une chose que les gens doivent savoir sur l’entêtement de Idrissa Seck à vouloir être le second de Wade au Pds, c’est que l’ex-premier ministre « est convaincu que s’il s’en va dans un système transparent démocratique, lui tout comme Wade et Karim ne seront pas élus dans ce pays, compte tenu de l’expérience que les Sénégalais ont de leur gestion ».
Plus explicite, le chargé des questions économiques du Pit, ajoute que « Idrissa Seck croit au contrôle de l’appareil administratif pour se faire élire par l’administration comme Wade l’a été en février 2007 ». Et comme preuve, l’opposant insiste sur le fait que le maire de Thiès « ne croit même pas à la capacité de son parti à arriver au pouvoir », et c’est ce qui fait, selon lui que Wade le fait attendre : « Wade le met dans une position d’attente. Eux tous (Wade, Idy et Karim), ils pensent qu’ils ne peuvent être à la tête du pays que s’ils contrôlent l’appareil d’Etat ».
Enfin, Ibrahima Sène croit savoir que si Idy avait réellement confiance au suffrage du peuple, « il aurait agi comme Wade en construisant son parti et en adoptant la même posture que les gens qui luttent pour faire face. Mais, regrette, l’économiste du Pit, « Idrissa se démarque de tous ceux qui luttent, se met dans sa cage et attend qu’on lui ouvre la porte pour pouvoir bondir ».
Plus explicite, le chargé des questions économiques du Pit, ajoute que « Idrissa Seck croit au contrôle de l’appareil administratif pour se faire élire par l’administration comme Wade l’a été en février 2007 ». Et comme preuve, l’opposant insiste sur le fait que le maire de Thiès « ne croit même pas à la capacité de son parti à arriver au pouvoir », et c’est ce qui fait, selon lui que Wade le fait attendre : « Wade le met dans une position d’attente. Eux tous (Wade, Idy et Karim), ils pensent qu’ils ne peuvent être à la tête du pays que s’ils contrôlent l’appareil d’Etat ».
Enfin, Ibrahima Sène croit savoir que si Idy avait réellement confiance au suffrage du peuple, « il aurait agi comme Wade en construisant son parti et en adoptant la même posture que les gens qui luttent pour faire face. Mais, regrette, l’économiste du Pit, « Idrissa se démarque de tous ceux qui luttent, se met dans sa cage et attend qu’on lui ouvre la porte pour pouvoir bondir ».