C’est devant une forte délégation composée de personnalités comme le ministre Awa Ndiaye, le député Aminata Tall, mais aussi Landing Savané, secrétaire général d’And-Jëf/Parti africain pour la démocratie et le socialisme (Aj/Pads) que l’ancien Premier ministre Idrissa Seck a abordé ses relations avec le président Abdoulaye Wade, secrétaire général national du Parti démocratique sénégalais (Pds). Et c’est pour dire qu’entre Abdoulaye Wade et lui, il y a toujours eu des relations de père et fils. Et de préciser : « Il n’a jamais été question de deal. »
A l’en croire, entre lui et son « père », il y a des choses qui n’ont pas été révélées jusqu’ici. « Mais, dit-il, Wade ne peut pas dire que j’ai essayé de porter entrave à l’exercice de son pouvoir. » « Il ne l’a jamais dit. S’il le dit un jour, conformément à la demande des chefs religieux qui m’ont invité à lui demander pardon, je le ferai », rassure l’ancien secrétaire général national adjoint du Pds. De la même manière, Idrissa Seck soutient que Karim Wade restera toujours son « petit frère ».
En outre, l’ancien Premier ministre est d’avis que tout le monde s’accorde pour dire que le pays va mal.
A l’en croire, entre lui et son « père », il y a des choses qui n’ont pas été révélées jusqu’ici. « Mais, dit-il, Wade ne peut pas dire que j’ai essayé de porter entrave à l’exercice de son pouvoir. » « Il ne l’a jamais dit. S’il le dit un jour, conformément à la demande des chefs religieux qui m’ont invité à lui demander pardon, je le ferai », rassure l’ancien secrétaire général national adjoint du Pds. De la même manière, Idrissa Seck soutient que Karim Wade restera toujours son « petit frère ».
En outre, l’ancien Premier ministre est d’avis que tout le monde s’accorde pour dire que le pays va mal.