L’usine Kirene est, depuis mars 2011, indépendante de la Senelec. Cette société s’est dotée d’une centrale électrique composée de deux groupes accouplés de 880 Kva, avec un troisième de 1000 Kva en réserve. Selon son responsable des ressources humaines, M. Mame Madiaw Ségnane, « la fourniture autonome de l’électricité coûte chère. Mais puisqu’on ne dépend plus de Senelec, on risque d’avoir moins de complications au niveau des machines ». Dans le même sens, le directeur général de Kirene, M. Alexandre Alcantara, a estimé que « les coûts sont induits avec la mise en œuvre de cette centrale électrique. Mais le plus important, c’est de ne plus être en rupture. On n’aura plus de pannes, moins de machines cassées qui vont nous permettre de produire plus ».
Au cours de la concertation entre les industriels et le ministre d’Etat Abdoulaye Baldé qui a présidé hier, mercredi 20 juillet, l’inauguration de la centrale électrique de Kiréne sur le site de Diass, il a été exposé le problème de l’électricité qui impacte considérablement certaines industries. A ce titre, le ministre d’Etat a affirmé que « face à ce problème, il est inscrit dans le business plan d’autres industries, un programme consistant à avoir une capacité de production autonome avec l’installation d’une centrale électrique. C’est le cas de la Sococim, Sabadola et Kiréne. Nous comptons construire une capacité de 1500 méga watts pour les Industries chimiques sénégalaises ». A l’en croire « cela va permettre à Senelec de mieux répondre aux besoins de la population. Et de préciser : « Si toutes les grandes industries se retirent, cela va influer sur les comptes d’exploitation de Senelec. Nous sommes en train de voir comment procéder afin d’éviter d’enregistrer des impacts sur le fonctionnement économique de la société d’électricité ».
Pour marquer sa cohabitation avec les villages implantés dans son environnement immédiat, l’usine de Kirene s’est lancée dans des actions sociales. Selon son directeur général, « même si de nombreux problèmes sont notés, nous ne pouvons pas tous les résoudre. Mais, avec les autorités locales et en particulier le ministère de l’hydraulique, en plus du forage qui va bientôt être fonctionnel, nous sommes en train d’élaborer un projet pour l’implantation d’un moulin en faveur du village de Kirene ». Ce qu’a approuvé le président de la communauté rurale de Diass qui a affirmé : «Nous ne regrettons pas notre cohabitation avec l’usine Kirene car la plupart de leurs employés sont de Diass. » Pour être encore plus concret, le président de la communauté rurale de Diass ajoute que « l’usine a un projet de laiterie à l’école. Elle donne aussi des tables bancs et des médicaments ».
Interpellé sur le retard fonctionnel du forage, le directeur de Kirene a reconnu que « le forage a mis du temps pour sa concrétisation. Actuellement, il est prêt et la deuxième phase consistera à la distribution de l’eau en plus de la construction du château d’eau».
rewmi
Au cours de la concertation entre les industriels et le ministre d’Etat Abdoulaye Baldé qui a présidé hier, mercredi 20 juillet, l’inauguration de la centrale électrique de Kiréne sur le site de Diass, il a été exposé le problème de l’électricité qui impacte considérablement certaines industries. A ce titre, le ministre d’Etat a affirmé que « face à ce problème, il est inscrit dans le business plan d’autres industries, un programme consistant à avoir une capacité de production autonome avec l’installation d’une centrale électrique. C’est le cas de la Sococim, Sabadola et Kiréne. Nous comptons construire une capacité de 1500 méga watts pour les Industries chimiques sénégalaises ». A l’en croire « cela va permettre à Senelec de mieux répondre aux besoins de la population. Et de préciser : « Si toutes les grandes industries se retirent, cela va influer sur les comptes d’exploitation de Senelec. Nous sommes en train de voir comment procéder afin d’éviter d’enregistrer des impacts sur le fonctionnement économique de la société d’électricité ».
Pour marquer sa cohabitation avec les villages implantés dans son environnement immédiat, l’usine de Kirene s’est lancée dans des actions sociales. Selon son directeur général, « même si de nombreux problèmes sont notés, nous ne pouvons pas tous les résoudre. Mais, avec les autorités locales et en particulier le ministère de l’hydraulique, en plus du forage qui va bientôt être fonctionnel, nous sommes en train d’élaborer un projet pour l’implantation d’un moulin en faveur du village de Kirene ». Ce qu’a approuvé le président de la communauté rurale de Diass qui a affirmé : «Nous ne regrettons pas notre cohabitation avec l’usine Kirene car la plupart de leurs employés sont de Diass. » Pour être encore plus concret, le président de la communauté rurale de Diass ajoute que « l’usine a un projet de laiterie à l’école. Elle donne aussi des tables bancs et des médicaments ».
Interpellé sur le retard fonctionnel du forage, le directeur de Kirene a reconnu que « le forage a mis du temps pour sa concrétisation. Actuellement, il est prêt et la deuxième phase consistera à la distribution de l’eau en plus de la construction du château d’eau».
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