''En suivant l’actualité politico-syndicale, on a la douloureuse impression que, contrairement aux souhaits exprimés par l’écrasante majorité du peuple sénégalais, l’année scolaire qui commence pourrait connaître des perturbations sérieuses'', écrit M. Thiam dans la lettre portant sa question d'actualité.
Il estime que ''la récurrence [de ces perturbations] pourrait compromettre dangereusement la qualité de notre enseignement''.
''Il ne se passe pas de jour où les médiats ne signalent des arrêts de travail dans tel ou tel ordre d’enseignement, dans telle ou telle région, dans tel ou tel département'', lit-on sur une copie de la lettre déjà remise, selon M. Thiam, au président de l'Assemblée nationale.
''Dans la plupart des cas, les revendications des personnels sont les mêmes. Soit certains enseignants n’ont pas perçu leurs salaires depuis plusieurs mois, soit les indemnités qui leur sont dues, pour leur participation à des jurys, à des corrections d’examens, ou pour d’autres prestations, ne leur ont pas été versées, en dépit des engagements souscrits'', a encore écrit Iba Der Thiam.
M. Thiam, ministre de l'Education nationale dans les années 1980, est retourné début janvier à l’Assemblée nationale où il remplace l'ancien Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye, qui a démissionné de la législature élue en juillet dernier "pour convenance personnelle".
ESF/OID
Il estime que ''la récurrence [de ces perturbations] pourrait compromettre dangereusement la qualité de notre enseignement''.
''Il ne se passe pas de jour où les médiats ne signalent des arrêts de travail dans tel ou tel ordre d’enseignement, dans telle ou telle région, dans tel ou tel département'', lit-on sur une copie de la lettre déjà remise, selon M. Thiam, au président de l'Assemblée nationale.
''Dans la plupart des cas, les revendications des personnels sont les mêmes. Soit certains enseignants n’ont pas perçu leurs salaires depuis plusieurs mois, soit les indemnités qui leur sont dues, pour leur participation à des jurys, à des corrections d’examens, ou pour d’autres prestations, ne leur ont pas été versées, en dépit des engagements souscrits'', a encore écrit Iba Der Thiam.
M. Thiam, ministre de l'Education nationale dans les années 1980, est retourné début janvier à l’Assemblée nationale où il remplace l'ancien Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye, qui a démissionné de la législature élue en juillet dernier "pour convenance personnelle".
ESF/OID