‘’Un Etat ne peut pas décider comme ça de changer le mode facturation pour passer d’un bimestre à une facturation mensuelle’’, a dit M. Sarr cité dans un document de son département transmis à l’APS.
Il a rappelé que le sous secteur de l’électricité est régi par un mécanisme de régulation exercé par la Commission de régulation du secteur de l’électricité (CRSE), une entité indépendante de l’Etat, des consommateurs et de SENELEC.
‘’Toutes les décisions qui concernent la facturation sont réglées dans le cadre de cette régulation’’, rapporte le communiqué citant le ministre délégué chargé de l’Energie.
Ibrahima Sarr a souligné que ‘’l’électricité est un bien public qui concerne des intérêts différents, ceux de l’Etat, du consommateur et de la SENELEC’’.
Selon lui, ‘’si on devait changer le mode de facturation, c’est au régulateur (CRSE) de prendre en charge cette question et il (le régulateur) doit, dans ce cadre faire des concertations avec tous les acteurs (Etat, consommateurs et SENELEC) pour recueillir leurs avis objections et recommandations’’.
‘’On ne peut pas se réveiller pour changer le mode de facturation mais on peut, dans le cadre d’une reforme réfléchir sur la question’’, a-t-il fait savoir.
Il a ajouté : ’’ce qui nous préoccupe aujourd’hui c’est de régler les problèmes des délestages’’.
Le ministre délégué a révélé, à cet égard, que ‘’nous allons boucler cette semaine les négociations avec l’entreprise qui a été présélectionnée pour la location de 150 MW avant d’acquérir de nouvelles centrales’’, mentionne le texte.
AD
Il a rappelé que le sous secteur de l’électricité est régi par un mécanisme de régulation exercé par la Commission de régulation du secteur de l’électricité (CRSE), une entité indépendante de l’Etat, des consommateurs et de SENELEC.
‘’Toutes les décisions qui concernent la facturation sont réglées dans le cadre de cette régulation’’, rapporte le communiqué citant le ministre délégué chargé de l’Energie.
Ibrahima Sarr a souligné que ‘’l’électricité est un bien public qui concerne des intérêts différents, ceux de l’Etat, du consommateur et de la SENELEC’’.
Selon lui, ‘’si on devait changer le mode de facturation, c’est au régulateur (CRSE) de prendre en charge cette question et il (le régulateur) doit, dans ce cadre faire des concertations avec tous les acteurs (Etat, consommateurs et SENELEC) pour recueillir leurs avis objections et recommandations’’.
‘’On ne peut pas se réveiller pour changer le mode de facturation mais on peut, dans le cadre d’une reforme réfléchir sur la question’’, a-t-il fait savoir.
Il a ajouté : ’’ce qui nous préoccupe aujourd’hui c’est de régler les problèmes des délestages’’.
Le ministre délégué a révélé, à cet égard, que ‘’nous allons boucler cette semaine les négociations avec l’entreprise qui a été présélectionnée pour la location de 150 MW avant d’acquérir de nouvelles centrales’’, mentionne le texte.
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