Dans un entretien accordé à Kotch, le chanteur invite ses homologues à faire fi de la monotonie. Et de travailler d’avantage sur la qualité au détriment de la quantité qui si l'on n'y prend garde perdra la musique sénégalaise. « La quantité à tué la musique. Ce n’est pas la piraterie mais plutôt la surabondance du marché. Il y a tellement de choses qui se ressemblent, c’est du recto verso. Les mélodies et les chansons se ressemblent et il y a de plus en plus de chanteurs », diagnostique-t-il. Et à en croire Idrissa Diop, un tel état de fait ne laisse aucune marge de manœuvre aux mélomanes sénégalais. « Ce sont les mêmes personnes qui achètent les disques et ils ne le font plus parce qu’il n’y a plus de qualité », croit-il savoir.
Par ailleurs, Idrissa Diop qui vient de mettre sur le marché local un album intitulé Voyage dans le temps, n’est pas prêt à céder la place aux plus jeunes eu égard de son éternelle jeunesse. « La musique n’a pas d’âge. Nous n’avons pas besoin de retraite. Je joue avec des gens qui sont beaucoup plus âgés que moi et qui ont la même passion. Et tant qu’on a cette passion, je jouerai jusqu'à ma mort. J’ai l’impression que quand je suis sur scène, j’ai toujours 20 ans. Je suis un éternel enfant », philosophe Idy.
Par ailleurs, Idrissa Diop qui vient de mettre sur le marché local un album intitulé Voyage dans le temps, n’est pas prêt à céder la place aux plus jeunes eu égard de son éternelle jeunesse. « La musique n’a pas d’âge. Nous n’avons pas besoin de retraite. Je joue avec des gens qui sont beaucoup plus âgés que moi et qui ont la même passion. Et tant qu’on a cette passion, je jouerai jusqu'à ma mort. J’ai l’impression que quand je suis sur scène, j’ai toujours 20 ans. Je suis un éternel enfant », philosophe Idy.