Idrissa Seck d’expliquer ensuite : “Si aujourd’hui Khalifa Sall était libre, si les poursuites étaient suspendues et la détention arrêtée, il aurait pu comparaître en homme livre devant la commission (ad hoc). Et une fois son immunité levée, là les poursuites peuvent reprendre et la détention, si elle est nécessaire, établie. ”
Avec Pressafrik
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