A Niang et M. Gningue sont accusés d’avoir cambriolé le conteneur contenant les ordures de l’hôtel Terrou-bi. D‘ailleurs, c’est le chef des policiers du GMI basés dans cet hôtel, qui a fait appeler les limiers. Et devant les enquêteurs, il a indiqué que depuis le 4 juillet dernier, ils sont victimes de cambriolages.
En réalité, il s’agit du conteneur déposé aux environs de l’hôtel Terrou-bi et servant de collecte de poubelle. C’est là, dit-il, que ses hommes de garde ont surpris des individus à l’intérieur du conteneur. Sommés de quitter les lieux, ils ont opposé un niet catégorique, allant même jusqu’à vouloir en découdre avec eux.
C’est donc, pour parer à toute éventualité, dit-il, que la mesure de pose de cadenas a été prise à l’interne. Le camion a été fermé hermétiquement avec un cadenas, mais moins de 24h après, il a été défoncé.
C’est ainsi que le chef de sécurité a mené une ronde le dimanche dernier vers les coups de 21h. C’est là que les prévenus ont été pris la main dans le sac. Interpellés sur leur implication sur les cambriolages, ils ont nié avoir participé à un tel acte.
Devant les enquêteurs du commissariat de point E, A Niang, mareyeur, a indiqué que la nuit des faits où il a été interpellé dans le conteneur, il revenait du sport. Et c’est ainsi que, selon lui, son ami M. Gningue l’a informé du conteneur qui contenait la poubelle.
« Puisque les temps sont durs ces temps-ci et que mon boulot ne marche pas, je lui ai demandé qu’on aille voir de quoi mettre sous la dent et éventuellement, vendre les carcasses de poissons », a avoué le sieur Niang.
Quant à son co-prévenu, il a avoué qu’il fréquente ce conteneur depuis longtemps et cela, à chaque fois que ses activités de mareyeur sont en baisse. « Il nous arrive de les vendre et au besoin, nous les mangeons », a lâché le mis en cause.
Vox populi
En réalité, il s’agit du conteneur déposé aux environs de l’hôtel Terrou-bi et servant de collecte de poubelle. C’est là, dit-il, que ses hommes de garde ont surpris des individus à l’intérieur du conteneur. Sommés de quitter les lieux, ils ont opposé un niet catégorique, allant même jusqu’à vouloir en découdre avec eux.
C’est donc, pour parer à toute éventualité, dit-il, que la mesure de pose de cadenas a été prise à l’interne. Le camion a été fermé hermétiquement avec un cadenas, mais moins de 24h après, il a été défoncé.
C’est ainsi que le chef de sécurité a mené une ronde le dimanche dernier vers les coups de 21h. C’est là que les prévenus ont été pris la main dans le sac. Interpellés sur leur implication sur les cambriolages, ils ont nié avoir participé à un tel acte.
Devant les enquêteurs du commissariat de point E, A Niang, mareyeur, a indiqué que la nuit des faits où il a été interpellé dans le conteneur, il revenait du sport. Et c’est ainsi que, selon lui, son ami M. Gningue l’a informé du conteneur qui contenait la poubelle.
« Puisque les temps sont durs ces temps-ci et que mon boulot ne marche pas, je lui ai demandé qu’on aille voir de quoi mettre sous la dent et éventuellement, vendre les carcasses de poissons », a avoué le sieur Niang.
Quant à son co-prévenu, il a avoué qu’il fréquente ce conteneur depuis longtemps et cela, à chaque fois que ses activités de mareyeur sont en baisse. « Il nous arrive de les vendre et au besoin, nous les mangeons », a lâché le mis en cause.
Vox populi